11 pays; les éclaboussures d’un Chapman ne peu- vent l’atteindre; aussi ne vient-il a personne des siens l’idée de le défendre. , Mais les Frangais de France 110 peuvent pas voir d’un (Bil indifi’érent un homme qui s’est fait pour ainsi dire leur porte~drapeau en Amé- 1'ique bafoué de cette fagon. sans démasquer 1e lache agresseur; et pour ma part, j’entreprends un démasquage en régle. Ca ne sera pas long. II Je ne m’arréterai pas a faire ressortir la stu- pidité colossale de presque tous les reproches adressés a M. Fréchette par son détracteur ; c’est par trop béte. Qu’il suffise d’en citer un: ab zmo disce amnes. Fréchette aurait fait rimer acz’er avec cours'ier, deux times dont 1e poétereau Chapman se serait antérieuremeut servi. . Vous riez ? c’est comme 9a. Fréchette est un plagiaire: il a s'ubtz'lz'se‘ — c’est 1e mot employé — une rime a Chapman ! I] en manquait. Avez-vous jamais conga rien de plus idiot? Eh bien, ‘tout le livre est de cette force. Et 9a été publié par le Ban Combat (19 l’abbé Baillargé, reproduit par le Courrier du Canada du grand Thomas Chapais, at par la Vérite’, de l’incommensu- rable Tardivel, surnommé Pistolet, parce qu’il a le dos rond, 1e fond noir, et qu’il part tout d’un coup. Je pourrais‘ bien démontrer, si la chose en