42 Oui, je suis revenu sous la fenétre aimée Dérobée a moitié sous les grands arbres verts, 01‘1, pour ouir du soir les murmures divers, Vous penchiez si souvent votre téte charmée. Chapman — Les Feuilles d’érable, La fenétre, 1877 : L’autre soir, j’errais seul sous le balcon discret Oil, pour ou'ir des eaux la rumeur cnivrante, Pour humer les senteurs de la brise odorante, Elle venait jadis pencher son front distrait. F réchette -- Reminiscor, 1868 : J’ai fait pour toujours deux parts de mon'étre : L’une est an devoir, l’autre a l'amltlé... Chapman —- Les Feui lles d’érable, page 117, 1884 : En deux sublimes parts votre ame se divise : L’une appartient au Christ, l’autre a l’numamté. Fréchette —— La Voix d’un exilé, 1869 : Tu voulais avant tout que ce nom ffit notoire ; Eh blen, sois satisfait : tu vivras dans l’lnston‘e, Mais cloué sur un pilori. Chapman — Les Feuilles d’érable, page 166, 1871 : Non, tu n’as pas menti : ton 110m toujours vivra, Mais en lettres de sang aux pages de l’histOIre. Fréchette —— Renouveau, 1873 : Des vents harmonieux jasaient dans la ramée. Chapman — Les Feuilles d’érable, page 217, 1878 : L’orchestre des oiseaux chantait sous la rame’e. Fréchette—La découverte du Mississipi, 1873 : Rasant les ilots verts et les dunes d‘opale... Des vols d’oiseaux marins s’élevaient des roseaux, Et pour montrer la route :2 la pirogue fréle