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On ne pouvait mieux Hpeindre 1a situation ni mieux caractériser 1e paroissien a. qui nous avons afiaire.

J e clorai par une supposition.

Si l’intéressant M. Chapman avait 1aison, si tout le bagage littéraire de Fréchette n’était qu’ un ramassis de niaiseries et de plagiats, 9a ne Vaudrait absolument rien, n ’est-ce pas ? moins méme que les Québecquoz’ses et les Feuz’lles d’érable ; et alors i1 vaudrait mieux que tout cela disparfit, n’existat pas, n’efit jamais existé.

Imaginons maintenant l’ceuVL-e de Fréchette enlevée tout a coup des lettres canadiennes ; trouverait- -on qu ’elle put étre avantageusement remplacée par celle de Chapman?

Oh!la1a!

FIN