do gauche. poussés vigoureusement vers la. sortie. Peu a pen leurs oreilles s'habituont au tapage. “Les Blanes beaucoup de bruit, mais pas mé— chants. remarque Liko qui est psy- Chologue.

Mais, qu’est—oe a present ? ‘Ma- kou, regardeajoute l’enfant, encore béte. . . sfiroment entrer dedans !. . .” Makou branle la téte. . . Ca ne 1’ '- tonnerait plus du tout.

En effet, le groupe des pelerins se dirigent vers les autobus qui les at- tendent. Le direeteur organise 1e depart: “4 —— 6 —-— 10 -—. . . com- plet !. . . Attention, je ferme. . . et les autos s’éloignent a toute allure en poussant des coin-coin sonores. Liko et Makou ne peuvent en croire Ieurs yeux, ni leurs oreilles. Le grand oiseau, i1 ava'it des ailes pour voler, 1e bateau, lui ne disait rien, et le gros serpent, i1 avait une téte qui criait, crachait; mais ces nouvelles betes