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- -A. yi’
Heédomaa’az'rr a’ Wag/2'16 __
Vol.10 No.41

‘ 5.15» ‘q‘ $3115“

 

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364-0101

 

 

 

 

 

Les étudiants de M r de Charbonnel
dansent pour ’UNICEF

Jeiidi soir LiCl‘lllCt. des milliers d ‘etudiants dc 9‘) ecoles secoiidaires du pays out entrepris sous le coup
de ltlhtX) (heure de I‘oronto) uii marathon dc danse au profit de l‘UNlCEl", l'organisation interna-
tionale d'aidc a l'enl'aiice.

l 'c\eneineiit. qui coiiicidait aiec le quaranticnie antli\ct‘suit'c dcs Nations-Unies. a debute avec la
chanson du groupe Northern l iyhts. 'l'curs .‘ll't’ Not [:‘noireli, eiiregistrec l‘hiver dernier par une wing-
taine des plus grands artistes canadicns al'in dc i'ecueillir dcs fonds pour soulager la famine en A frique.

<<l)'uii ocean at l‘autre, au inciiie instant. les jcuncs oiit cntoiitie la meme chanson», a indique Brigitte
Duchesiie, i‘epicseiitatite de l‘lTNlCl-Zl' a loronto, qui etait ti'es rcconnaissante de l‘implication de
l‘ecole secondaii‘c catholiquc Mg l' dc ( 'harbonnel. Ia scu le ecolc francophone de Toronto a participer au
projct.

Dans pliisietii s conitiiiinautes, lcs etudiaiits cii profitaieiit egaleiiient pour féter l‘Hallovxeen et
l'aisaiciit dc la daiisc de l‘l NICH' uii bal costume. ( 'e ii‘etait pas le cas a Mgr de Charboiincl. ou un pro-
jct initial dc datisc dc l‘l lallouceii mail etc aiiiiulc tau descspoir des ettidiants) mais remplace a la der-
niere minute par la daiise dc l‘l lNlCltl'.

 

 

 
  

 

 

 

  

E

4* l u t
TORONT

Semaine du 29 octobre au 4 novembre 1985
WWW L71 31K

  

3° . no Jounmu. cut , -...._3"...'Li;’5;:§:ai tit? f.

 

votre iOurnaI du matin a CJBC
Claude Deschenes anime

Le Metro Express

 

 

 

 

 

Le scrutin du 2 décembre au Québec

de bh a9h

 

 

Johnson donnera du fil a

retordre a

Les demiers sondages sur
les intentions de vote des
Québéo'ois viennent con-
firmer que c’est une chaude
lutte que livrera le iiouveau

premier ministre Pierre-
Marc Johnson a l'ancien
premier ministre Robert

Bourassa en vue du scrutin
general du 2 decembre pro-
chain: l'écart de 30 a 40
points qui séparait l’an der-
nier le Parti Québe'oois du
Pani Liberal — et qui aurait
permis 2 cc demier de rem-
porter tous les Sieges a
I'Assanblée Nationale! — a
été réduit a moins de dix
points, a la faveur de la
réoente campagne a la direc-
tion du PQ.

M. Bouiassa peut cepen-
dant demeurer confiant de
former le prochain
gouvememait du Quebec,
mais ce in: sera pas le
balayage esoompté; c‘est
maintenant sur lui que
sont braquées les cameras et
il ne peut pas se pcmiettre le
luxe de faire des ei'reurs.

Parent on PO

Déja, en renouvelant en
profondeur l'équipe de can-
didats péquistes, et notam-
ment en y incluant des hom-
mes d’affaires, M. Johnson
aocentue la nouvelle image
modérée du Parti Quebéoois
et vient jouer dans les plates-
bandes du Parti Liberal.
Contre M. Bourassa lui-
méme dans le oomté de Ber-
trand (rive Sud de
Montreal), le PQ présente
l’un de ses plus gros canons:
le maire de Boucherville et
nouku ministre du Com-
merce extérieur, M. Jean-
Guy Parent.

La mise en veilleuse de
l'optjon indépendantiste
pennet méme au PQ de
frapper a la pone des

 

Le premier ministre Pierre—Marc Job

301113553

   

r

    

 

nson et Ie chel liberal Robert Bourassa

 

Chateaux-tons anglophones
d5 libe‘raux a Montreal, qui
leur donnait en tout temps
une longueur d‘avanee sur
l'opposition nationaliste...
Paradoxalement. on tente
en méme temps de taire cola
ler au Patti Liberal l‘image
d’un pani “vendu aux
Anglais" tandis que le PQ
serait naturellement celui de
la majonté francophone.

M. Johnson a pmcéde’ le
16 octobre a un renianie-
merit des deux-tiers du
cabinet. allant chercher
quatre personnalite’s (M.
Parent et Mmes Rollande
Denis. Lise Cloutier et
Louise Beaudoin) a l‘ex-
térieur de l'Assemblee Na—
tionale. M. Bernard Lan-
dry. ex-adversaire de M.
Johnson a la cheffen'e du
PQ, est promu au poste de
ministre des Finances. tandis
que M. Jean Garon et Mme
Pauline Marois, également

candidats. consenent leur
niinistere respectil de
l'Agriculture et de la Main
d‘oeuvre.

Rémillard aux liberaux

M. Bourassa a re'plique'
mercredi demier — le jour
de l'annonce de la date des
elections par le premier

ministre Johnson — en
recrutant le constitution»
iialiste (ill Remillard, qui
sera candidat dans Jean-
Talon. l'ancienne cir—
conscription de M. Ray-
mond Gameau a Quebec.
M. Re’millard. professeur a
l'L'nixersite LasaJ, etait con-
seiller du premier ministre

du Canada, M
Mulroney

La nouxclle a cause une
certaine surprise puisque M.
Remillard avaii la reputa-
tion d'étre péqUiste; son
e'pouse etait d‘ailleurs
Jusqu‘au 16 octobre demier
une actii e militante
pequiste, ex-attache’e de
presse du ministre Jean-
Francois Bertrand avant de
deienir chef de cabinet du
Jean-Guy

Brian

M. Remillard est
\raisemblablement de'ja le
pone-parole du PLQ at
matiére constitutionnelle. ll
rejette leprojet d'acoord mis
de l'avant au pnntemps der-
nier par le gouxernement
pe'quLste et \eut plutét faire
en sorte que le Quebec
«retrome sa force politique
pciduu ittl\ du iapatrie-
ment de la Constitution
canadienne.

C'est cependant sunout
d'economie que l'on
discutera au cours delacam-
pagne. un terrain que M.
Bourassa reiendique com-
me etant le sien. mats sur le-
quel M. Johnson se dit lui
aussi prét a se battre.

(Suite en page 5/

Rien ne va plus a Thornhill...

 

L’hydro unilingue: une
famille dans le noir

Une famille de six personnes, a qui
on a\ait coupe l‘electricite' la semaine
pu retablir le courant

demiere. n'a

que le lendemain parce qu’elle ne com-

prenait pas les instructions. en anglais
sculciiieiit. laissccs cii son absciicc pat

au COLIl's d ‘u‘ne entrevuea L ’Express‘ de
Toronto. «A quoi ca sert d'axou une
Constitution?», demande-t-il.

Au ministere ontarien de l'Energie
— dc qui relevent l‘Hydro Ontario, a

 

 

 

Gabrielle .Roy et Jarvis: lfalerte au SIDA
sur-exp101tée par les medias?

 

Les parentssont satisfaits. ,
des explications des autorites

Les repre’sentants des parents de l'ecole éle‘mentaire
Gabrielle Roy et ceux de I‘lnstitut collegial Janis .sont dans
l’e'nsemble satisfaits des e\plications t'oumies par les
autontes medicales de la \ ille qtiant a la possibilite \ oulaiit
que l'orieiiteur Normand Bergeron, a l‘emploi dti secteur
trancais du ('onseil scolaii‘e dc loroiito, soit decedc reccni-
meiit du SIDA.

par Francois Bergeron

Ni le Conseil smlairc. iii l‘hotel dc \ille, iii le itiiiiistere
prm incial dc la Santé ii‘ont ccpciidatit coii tiriiie cette infor-
mation, contenue dtuis tin reportage de la station de televi-
sion (‘Fl’O mardi soir deriiiei. (‘l"l() let. daris soii editioti
dc jeudi, le Toronto Sun), affiriiie toutcl‘ois axoii Iii cer-
titude que les autontes etaicnt aii couraiit de cc cas depuis
avrildemier mais ii 'oiit pas juge necessaired'eti informer le
Conseil scolaire. Lors d'une reunion du comite de parents
de Janis jeudi soir. les representaiits dti ‘ .
departement de la Santé ont precise
qu‘aucu ne mesure speciale de protection
n‘étail ne'eessaire: il ii‘)‘ a auctin risque
de contamination. l .e comite de parents
de Gabrielle Roy n‘a pas reiieontré
fomiellement les autontes medicales,
mais le president, M. Da\ id (‘lanfield. a
mene sa petite enquéte et estime lui aussi

u'il n'y a rich a craiiidre. «Si toutefois

es parents sont inquiets et deniandent
tine reunion pour discuter de cette al-
faire, dit-il. nous allons certainenicnt
organiser une reunion.»

 

Du c6tedesdirecteurs et des enseignantsdcsdeux institu-
tions. on s‘accorde egalcment pour respecter la confiden-
tialite’ du dossier medicalet pourdirequeueedont nieurt tin
individu n‘a pas a étre du doiiiaine public»...

Certains parents ont cependant declare a I Loire“ (/0
Toronto que la rumeur courait iusque panni les e’tudiants a
l‘effet que M. Bergeron. que tous ont m tres amaigri ces
derniers mots. e’tait atteint du SIDA. «Mon impression e‘tait
qu‘ile’tait homosexuel; lorsqu‘on a aiiiionce' sa mort, je ii‘ai
pas cm a la version officielle d'un cancer du poumonn, nous
a dit un parent. dont le témoignage est eependant tres
favorable a M. Bergeron en tant qu'educateur.

("est surtout par consideration pour la me'moire de M.
Bergeron. reconriu par tous conime «uri eiiscigiiaiit que ses
éleves aimaient beaucoup et pour qui ses collegucs a\aient
énormement de respect», et moins en raisori des pressioiis
qui ont été exercees. qu 'on se tnontre furious at l‘end roit des
medias qui ont exploite’ cette at‘faire. Selon Mine Janet Ray,
directricede l‘lnstitut collegial Jams. tous les interesse's ont

   

Jean Drapeau. . . . . . . . .page ‘
Pluiesacides...........p.igcz ‘
Muse'e Gardiner. . . . . .ma
La “boite nOll'E” . . . . .piigc.
La comete de Hillicymagc
Ecrivains d’ici.........pagc7
Duran Duran . . . . . . . . . .pauc 8
Mots croisés. . . ........ptt31c 9
Télévision. . . . . . . . . . . . .page ll)

1‘;—

1')

 

 

   
 

 

 

reagit tres calmement aux nouvelles, il n‘y a pas eu de pani-
que mais au contraire un renforcement de la solidaritedans
la coiniiiunaute vise'e par cette alene. «Je n‘ai recu aucun
appel telephonique de parents s'inquiétant des conditions
de same a l'ecole. indique Mme Ray; j'ai plutét recu des
appels d'encouragement et de renierciement pOur notre
attitude dans cette al‘faire».

l’our sa part, M. .lohn Piper, president de l'Association
des parents de Janis, souhaite que CFTO u nous laisse enlin
lriutqlllllCh, inais il admet que les medias ont le droit et
riienie le detoir de u traiter» publiqtiement de leis cas. ll se
pronoiice en faveur d‘un juste equilibre entre la con fiden-
tialite iiiedicale et le besoin de proteger le public: «Je ne veux
pas samir qui a ou it‘a pas le SIDA a l‘eeole. mais je \eux
étre st'ir que le iniiiistere de la Santé prerid les mesures ade—
quatcs pour le savoir et pour prote'ger les e’le‘ves et les
eiisei_tiant.s».

   

M. Bergeron e’tait age de
36 ans. ll travaillait a Gabrielle Roy
depuis la fondation de l‘ecole en I975 et
a Jarvis a temps partiel depuis un an. ll
avait déja e’te’ malade au printemps mais
il etait retoume’ a son poste apres avoir
reeu le feu vert de son médecin. A la ren-
tree, il avait informé son employeurqu‘il
desait encore s'absenter pour des
raisons dc same‘. it est dé‘cédé le 27
septembre; de nombreux e’léves. parents
et enseignants ont assiste' a ses
funerailles.

M. Normand Bergeron

[Teeole Gabrielle Roy. qui accueille 548 eleves. et Ie
module de Janis. qui en eompte 174. sont les deux settles
institutions francophones du Conseii scolaire de Toronto.
Six autres ecoles l‘rancaises appartiennent au secteureatholi-
que a Toronto; l'école secondaire Etienne-Bn‘ile' et l‘école
elenieiitaire Jeanne Lajoie dependent du Conseil scolairede
North York.

I ‘e\ enement l‘ait les manchettes parce que ce serait la
premiere t‘ois au pays qu'on trouve une victime du SIDA
darts l‘enseignement.

l e Syndrome d‘immuno-de't'icience acquise (SIDA),
pour lequel on n‘a pas encore trouve’ de reméde. de’truit les
mecanisnies de defense du corps humain contre les mala-
dies. ()ii I'appelle la “peste gaie" parce que ce vims se
traiisiiiet sunout au sein de la communaute’ homosexuelle a
la taieiir dc relations intimes multiples. La prostitution et
l‘usagc dc seniigues cliel les drogues sont e'galement blémés.
H y ayemiron 300 cas Lonnus de SIDA au Canada (lull)
aux [:tats»Uni.s) et on estime que ce nombre est appelé a
doubler chaque anne'e jusqu'a la fin de la de’cennie. . j

La censure

en Ontario
frangais

l:\iste-t»il tine “censure" franctHintaiicniic‘.’ \i
oui, ou s‘eserce-t-elle et quels en soiit les foriiics ct lcs
inecaiiisiiics’.’ ("est cette question que 1 es l'LllllUll\
l'lnterligne pi‘oposeiit d'e\plorer a l‘occasioii dc lciii
deuxieine forum aiiiiucl. qui se tieiidi'ii daiis lc catlic
dc la Seinaine franco—ontariennc dc H [in cisitc
d'()tta\\a. lC9ltU\ eiiibrea l5htXltpiece It)" du ('eiiiic
tiiii\ ci‘sitaii‘c).

l 'e\ ctieniciit .sera precede de l‘asseiiiblce aiiuiicllc
des Lditioiis l‘liiterligne (qui public iiotanimciil le
iiiaga/inc ctilturel [.Itll\t)l1)£tCOIHPICF dc Illitl).

lcs persoiincs sui\aiites l'ci‘oiit pai'tie dti panel:
Jacqueline l’elletier, consultante ct ecriiain: hes
Saiiit»l)enis, ext—president dc l';\ssoci.itioii
cautadieiine-l'i‘ancaise dc l‘()ntario; l’ieii‘c humid.
directeur du departement d‘histoire dc I‘l‘iiixcisite
d‘Ottami et Brigitte Haentjens. dircctriccdti lhctitic
du Nomel Ontario. Alain Poirier. de la fii'iiic .-\coid.
animera Ie panel.

liicideninient. Brigitte Haentjcns participaii. Li sc»
mainedeniierea la Maison de la ('ulture. a mic \t‘llL‘L‘
du Regroupement des ecrnains ll’illicoelUt‘Ulith .iu
cours de laquelle il fut longuement question dc Ia
“censure" a laquelle se heurte le ’l‘heatre dii Notu el~
Ontario et plusieurs autres createurs dont lcs ocu\ ies
sont jugees iconoclastes par la “\ ieille gardc“ liaiicw
ontariennede Sudbur) et du Nord. ()ii se sotn iciidra
que la piece I es Rage/1s. qui se \otilait pourtant iiiic
comedic legerc, avait éte' rel‘usee l‘aii dci‘iiici pai
pliisieurs ecoles franco-ontarieniies.

En se penchant sur le phenomenequ‘cst la cciisuic.
le forum dcs Editions l‘liiterligtic poscia. pat iiii
d'autres, les proble’matiques suiiaiites:

—— L‘Ontario franeais des années 1980 rc‘sw‘lnl‘lcrl riI
au Quebec des anne'es 1950‘?

~ Y-a-t—il une “cause" fratico-ontai'ictiiic oii
pltisietirs \crsions de l‘orieiitation ct dcs deiiiai‘clics
qui permetti‘aient a la coiiimunaute de s'assurei iiii
mieus C‘tre'.’

—— La stir\ ie du francais cii ()iitai io est »el|c tlc\ ciiiic. (i
toutc fin pratique. le leitiiiotn pin ilcgic dii discoiiis
oflieicl sur notre collectix ite‘.’

— Que dire dcs grands couraiits qui iiiaiquciii la
societe coiitcmporaiiie: feniinisme, ecologisiiic cl
creation. parnii d‘autres'.’

qui se rapportc lcs dix erses compagnies
. ‘ locales dc distribution d‘electricite -

“lClC‘C-‘I utipaysanglais»,aurait-On la coordoiinatrice des sen ices en
tepoiidit a \l. Benita. dc lhoruhill. ”mums, \Ime .locelViie Beaulicu. in—
lt‘l\tll"i| d .ippele lit sltll‘l‘ili—"llc diqiic que ees enti'ep'rises ne font pas
Vaughan Hydro POL” savoir comment [htl‘llc coiiiiiic telles dti ministere, et
retablir 1C eourant “1'1”ng — *“Ué que. dc toutc taeon. lc eotnernement
dans '9 compteur 3 l‘exterieur d9 13 dc l‘()ntai'io ii‘a pas encore dc politi—
"1211*0'1— qU' permet, meme ““915 de que de i‘lllllL‘UhIHC potnant lui permet-
coupure,d'o‘pererquelqueslumtereset trc d'iiiter\eiiir aupres des societes
certains “WWW“ CSWDUCIN d‘l'tat ct des iiiuiiicipalites pour les
torccr a lt‘llfltll des semccs dans les
dctis langucs Ullic‘lc‘llL‘N

le technicieii de la coiiipagnic d‘lndro.

«lc Canada est pourtant uii paysof—
ficiellement bilingue». a fait remar-

quer M. Benita (Marocain d‘origine) (Stuteenpage 5)

 

 

 

La Maison de la Presse:
ler anniversaire

La Maison de la Presse Internationale. rue Yorkvule, létait
la semaine derniere son premier anniversaire. «:Grace 3 un choix tres vaste
de revues et de Journaux fran ais et québec0is. nous avons reuSSi en un an
a attirer une clientele regulieren. indique le directeur des Maisons de la
Presse au Canada. M. Emidio Morganti «ll reste toutet0is enormément de
choses a lane. dit-i1 Nous voulons nous impltquer davantage dans le
développement de la francophome a Toronto et. a cette fin. nous sommes
ouvertsa toutes les suggestions.” La Maison de la Presseadéia partiCIpea
des exposrtions etdes salons dulivre.dans desécoles oudescentrescorn
munautaires Sur la photo. on reconnait dans I'ordre habituel. le gerant
Christian Dufour. Polly Mangel et Daniel Lamoureux.

 

 

 

 

 

QU’UN MOIS!

contribution pub/lée donne one chance de plus .'

 

IL NE RESTE PLUS

Journal/ates et photographes amateurs. vorcr l'occas/on Idea/e de mettre vos

talents a pro/rt. tout en courant la chance de gagner un billet d 'awon pour Genéve
ou Zurich avec Swissair! Les merl/eurs articles ou photo-reportage serontpub/rés
dans L 'Express de Toronto, Partrc/pez autant de Iois que vous le désirez: chaque

0 Les textes. de deux a cinq pages
dactylographiees a doubles interlignes. devront
étre bien ecn‘ts, logiques et credibles Its
auraient avantage a etre accompagnes d‘une
photo ou d‘une illustration. on au moins d'une
suggestion en ce sens et des indications
necessaires pour notre photographe.

CONCOURS REDACTIONNEL L’EXPRESS / swissciir.”E

0 Les textes ou photoreportages peuvent
porter sut tous les sujets mais se vouloir
Surtout inlormatits. Ils peuvent traiter d‘un

robleme tres serieux. d‘une personnalite
interessante. d'une activité originate ou
méme d‘uri evenement cocasse.

 

0 Les reportages-photos. de cinq a dix
photographies en couleurs ou en noir et blanc.
en plus d‘étre techniquement reu55is. devront
étre accompagnes d'un court texte expliquant
notamment Ie til condticteur ou le theme
aborde.

o C'est au debut du mors de decembre 1985
que nous procederons au grand tiraqe du billet
d'avion Swrssair Les articles on Ies photo
reportages doivent etre envoyes a t 'F xpmns. do
Toronto. aux soms du redactetir en ctwt. 138
ave BroadView. Toronto. MAM 2E9. en mention
nant sur I'enveloppe "concours SWissmr”