Somlno du 29 octobro au 4 novembiu 1985 VO YA GE S La boite noire a 20 ans ("est en l965 que l‘entreprise anglaise Midas et Royston, specialisee en e’lectronique, a produit la premiere “boite noire" en collaboration avec une c'quipe d‘ingeiiieurs d 'Air Canada. La boite noire s'est taille’c une place d‘imponance a bord des avions par sa capacite‘ a detcniiiner les circonstaiices provoquant cenains acci- dents. (‘etlc boite n‘cst pas noire, comme son noni le Iaisse entendre, mais plutét d'un orange \il pour l'aciliter son icpe'rage. De plus. il y a plus d'une boitc noire par ap- pareil. La boite peut re'sister a une explosion, a un choc d‘unc tres grande intensite' et a tin violent incendie. Elle lbnctionne dans presque toutes les conditions y coiiipris sous l'eau. lille a beaucoup ex olue depuis ses debuts. Aujourd 'hui elle est cntiercment electronique ct recoit et emmagasine des iniorinations grace a un microprocesscur et a dcs niicros plaqucttex. Lc terme boite noire fait reference aux premiers pro- totypes qui étaient effectivement noirs et conside’re's oom- iiie etant des objets quelque peu myste'rieux. Tous les aVions sont munis de deux DOItes noires Cuba: la meilleure valeur pour les . vacances au soleil l)ecoii\crtc par (‘hn'stophe (‘olomh en 1492, coloiiiscc par l‘l-spagne, Cuba a fail enomienient parler d‘cllc dcpiiis xii re\oliitioii dc I959. ltn W70. (‘iiha otiii'e ii lllHHCilll sex portcs aiix totirisies. Pen a pen. son ll]- l’iiisiriictiirc hotelicrc \ii rcprendrc pied. les grands hOtcls dc l'epoqiic dc Batista sont renoi es, dc llUll\L‘illi\ ettiblixscmentx soiit constriiits ct ('iiha ofl‘re iiiaintciiziiit tin tres hon choi\ d‘liotels. ‘ Sex plagcx xoni panni les plus belles des ( 'iiraihex toec, ii l‘est, l’lziya ilcl lzste, a qiielqiies ltiloiiietrex dc ill HilHlllc, \'ziriidcro, la plus ceIChi'c des caraibcx ai cc sex It) kilonictrex dc sithlc l'iti, ct ti l'oiicst. Mayiuuibo ct (illul‘ diiltt \ iicti. ()ii pciii) loiici‘dex \oitiircx style Jccp,l ild'd ct \'\\' aiii joiir on ii lti xeniaiiic. l.e perniis dc condiiire international n'csi pits rcqtiix. Sciile recoininiuidation: respcctc/ les liniiiiitionx de \ itesse. l)e\ ixc conseilIec: lc dollar US et la ciirtc VISA. l 'iicliiit dc pcsox au niai‘clie noir cst illegal. Documents d'ciitiec: l’iisxcport canadicn el \isa deliv rc in cc l‘iicliiit d'iin l'orl'iiit. Bons achats: rhiiiii ct cigares. liixe locale: cllls'llllc. l’oiiiboirc: aiicuii. loiis les l‘oiitiils stir ('iiha coniprciiiicni toiijoiii‘s lc pctit deiciinci ct lcdiiier. (‘ertiiiiixoffrciii troix repas. l u ciiisinc est pcii \iiricc ct lc sen ice lent. l c COL“ dc lii \ ic touristiquc 3' ext ininiinc. (‘iiha i‘csic cncoie ct toiijoiirs Iii iiieillctirc \ zileiir dc \ ovugc poiii' tics \iiciiiiccs ziii soleil. loiitci’ois, ('iiba demctirc iiiicdcxtiiiii- tioii pui‘iiciilieic qtii iic conviciit pas ii tout le nioiiile. llicii xc i'ciiscigiici' iiit depart potii' e\ iter d'etre decii. L‘art péruwen une Vieille culture Le Pérou: terre de contrastes et de légendes .A\\cc il'iiboid l iiiiii, fondec cn l535 Dill li‘iuicism l’i/iii’io. :\lic‘lL’llllL‘ic'lipllélic dtt VICL‘vRUytlllllCti‘l'spiiglic, l iiiiii piisseilc lcx iiicillciii‘s niiisecs dii pins on l'oii peiit iippi'cciei tics oliicts d‘or ct tl‘argciit, dcx certiniiqtics clcs ciiltiiicx niillciiiiii'cs qiii sc dcieloppci‘ent xiii lit ci'itc et dans les iiioiitiigncx. ( it/co. coiixiilcicc coiiiiiie Iii ciipititlc iii’clicologiqiic d'Aiiici’iiiiic ilii Siiil. llll Ie siege dc l‘cnipii'c Inca. les origiiics iic ( ii/co sc peiilciii clans Iii legciidc. l’ar sa splcnilciii ci xii iiclicxxc. ccttc \ illc ii etc coinpiircctiin pliis giitnilcs tic toiis lcs iciiipx.( ii/co possetlc iiii iitirtiil pair- ticiilici poiii lc \o_\;igciii';i\ccxcs itiiixecs. xcx iiioiiiiiiicnls, scs loiicicxscs cl xcx \cxtigcs iiiciix, xoii lolltloi'c ct son iii- tis.iiiiii. ()ii pciii .ippiccici en pai'coiiiant xcx i'iies lit lti— sioii .iicliitcctiii.ilc tics ciiltiiicx liicti ct l-spiignole. ‘\ tiiiclqiicx kilonictics ilc ( ’ii/co sc lioii\ciit lcs \ illcs loitifiecx il‘( )ll.iiiiii_\iiiinho, l’ixzic. Sticsaliiiinaii ct l‘riibiiiiihii ct hicii sill la \ illc lcgcndaiie dc Miiccliii l’ic- cliii. I)ecoii\crtc en 19H, lit cite perdiic dcs liicas est il’iinc etonntiiitc beanie. l 'nc c\ciirsion ii iic pas mullqllCT iiticl tiii‘cii xoii lc pm. l’iiiio. siiiicc till iioitl till I iic liticucti. cxt lii ciipitttlc lollxloiitiiic ilii pin». l ‘iiiiixiiiiiii iitlciiit xii iiicillciii‘c c\- picssioii dillis lcx iixsiix ilc liiinc. l'nlpitgii ct lii cci‘uiiiiqiic. l)c l’iiiio [‘illlk'lll ioiiics lcs c\ciiixioiis xiii lel .ic l ilicticti. \ \ii/cii sc Ii oii\ c lc ciilciiiliici iisliononiiqiiccoiisiiiiic ilcgii’uiiicstitics lCPIL‘w‘liltllltillsLi'illlllllilln st)liscs. l’onr DOUHHI ch iippiccici il cxi iim‘cxsiiiic tlc xiir\o|ci lii iegioii. l-\ciiixioiisiiiiilcpiiit dcl llllu. liitiitosiiii boi‘tl dc i"\lli;l/Hllt‘ otlic ioiiic Iii iiisciiiiitioii ci l'c\otixnic dc lii iiiiiglc. |)c iioiiiliicin ciiciiiix xcioiii piiiposcs cct liner. in pliipiiit scioiil tlc li ioiiis. \ iioici ccpciiiliiiii iiiicpoiii Ic \osiigciii c\pciiiiieiiic. lc l’cioii est un pins lies iticilc ii tlecoiniii. lc clioi\ d'lioicls csl csccllcnl Li liiiiii ct icliiiix cinciii hon tl.tiix tons lcsiiiitics cciiiicx toiii‘isiiqiics. l cs c\ciiisioiix ii iic pits iniiiiqiici xoiit ('ii/co, Maccliii l’iccliii. l’iiiio, \ii/cti ci ltiiiiios. l c \o_\iigciii pciit egiilc- iiiciii xc piociiici lc “\ iin l’ci'ii l’iiss” iic 3U iUiirs qiii pcinicl ilcx iiiicis illiiiiitcs ct qiii iic come one 81?“) LB. ('ci'iiiinx ciicx illc'ilcttitiglqllc\ iic soiii .icccsxihlcs qtic par \oics lciiccs. .\ iiotei‘ cepciitltiiit que les ti‘iiiiis soiit pcii coiiloitiil‘lcs ct lciiis, lll.ll\ lc \ostigc eii \.iiit toiiioiii’s lit pciiic. l’oiii iciisxii on notice illl l’ei'oti. bien sc dociiniciiici iiti tlcpiiii xiii lii ciiltiiic lnc;i ci eli'c en c\cc|lcntc foi’iiic liii)\ltlllL‘ poiii l‘lL‘ll siippoi‘ici l'iiltiiiiilc. iill.l“i" 1~ inn iii» "i lfligi’r}-,,1‘-*4si1~-‘ i» r Manedose Gniec 1mg» _ 'in' Min-mu» g. ii- ‘,ri".tlv' :i , ,w 1. ,ihmm musigue classique L’EXPRESS — 5 Beaucoup de galops au grand cirque Vendredi lo 25 octobre $985 an Roy Thomson Hall En recttal Braille Engerei pianiste AU PROGRA ME Trlnscription de Quatie ans de Franz Schubert par Franl Liszt Liunm. Fluehllngsgleube D 686, Doppe/gaenger D 957 no 13, Aulanthali 57 no 5 Robert Schumann Faschmgsschwank aus wien 0p 26 Modeste Mussornsky fabloauii d une exposition Mlle Engerer jouit d’une maitrise technique remarquable, ce qu1la rend tout a fait impressionnanie dans les pieces de grande difficulté. Elle sait rendre les morceaux a grand de’plmement tres cap- tivants surtout parce qu’elle prend des ris- ques, qu'elle change des choses dans les textes mu5icaux pour les adapter a ses Vl- sions momentanées des oeuvres dont elle s‘inspire... par Eric Saboudn Au coeur de cette technique russe excep- tionnellement bien maitrise'e, on retrouve des trilles magnifiquement rondes ou cor- pulentes, chamelles, expressives, chatouillantes et réveuses. des octaves joue’es a une vitesse fulgurante pratique- ment ine‘galée (saufpeut-étre par Richter et encore quelques-uns); elle sait par ailleurs marteler le piano avec des effets percussifs saisissants. en sommeelle possede unedex- te'rite' et une souplesse vraiment hallucinan- tes, ce qui ajoute au spectacle de la vir- tuosite'. Par contre. la jeune Francaise d‘origine tunisienne a dans ses petites mains habiles cenaines lourdeurs ou pesanteurs russes qui lui permettent de nous donner on son bien audible, certes, mais parfois trop bruyant. En plus, ellejoue parfois certaines pieces avec désintéressement, ce qui rele‘ve du baclage pur et simple. Méme que l’auditeur a l'impression que Mlle Engerer se moque de lui dans les plus beaux passages lorsqu‘elle les joue a la “va-vite" comme pour mettre un terrne a un recital qui vient tout juste de commencer ct qu’elle ne semble plus avoir le gout ni l‘in- tention dedonner. ll y a done une espece de negligence ou quelque manque de delica- tesse intermittent a une eiiergie et une volonté réelle mais fuyante. Voyons le programme de son recital dc vendredi demier, recital agréable sans plus. Nous avons eu droit tout d’abord a du Schubert remanie... ce qui est un peu de mauvais gout, comme choix musical car, quoique les lieders de Schubert soient d‘unc grande beaute’ lorsque chante’s. les transcriptions qu‘en a faites Franz Liszt soni tantoi mutilantes ianiéi irop simplistes en plus du fait que ce dernier les a omees de fioritures a sa propre maniere, 3— - 4r Q“? ~ cal. La pianiste Brigitte Engerer ce qui peut certainement de’plaire et dépareiller la beaute’ originelle de ces airs. Heureusement, l‘inierprétation d’Engerer a su en de’gager les lignes me’lodieuses avec beaucoup de clarte, ce qui constitue a peu pres tout ce qu‘on peut faire avec ces anamorphOses. Les mouv ements du Fusr'lii'ngssch wank aus Mien de Schumann ont eu trop sou- vent la legerete' du galop; l‘intermezzo et le finale om manque d'aisance et ont été ce qu‘il y a de plus besogneux: c’est par— ticuliercnient la qu‘on a cru au baclage pur et simple et ou la deception se lisait sur tous les visages au moment de la claque timide. Par contre, apres une premiere partie si peu brillante, nous avons eu droit a une in— terpretation sublime (rien de moins) des Tab/eaux d ’une exposition de Mussorgsky. La suite fut pleine d’une puissance emotive renouvele’e, d‘une resurrection geniale de chaque tableau axec une exactitude et une logique in— discutables. tour a tour admirees, clialeureuses, intempestives et e'trange- ment toujours soutenues d’un caractere judicieusement grandiose. (Hormi les resurgences de la Promenade que Mlle Engerer a bouscule’es. comme pour se de’barrasser de leurs réexpositions - em- barrassantes ou agacantes si on en juge le toucher peu caressant de la pianistc). Nous sommes donc restes bouche-bee dev ant ses prouesses pianistiques et com» me on ne peut pas tout avoir et qii‘il lui faudraii un peu de poésie dans son coeur pour pouxoir \ raiment toucher, remuer et e'mouvoir profonde'ment les foules, il faut com enir que Mlle Engerer iait du tres bon spectacle lorsqu‘elle en a le dessein et la volonte. N.B. Parlons de gout: justement, le recital de Mlle Eiigerer. l‘an dernier a Montreal, non content de nous presenter a peu pres les memes oem res, nous axait \ u gratifiesd‘un rappel douteux: un Gu/op de Schubert qui n‘est rien de moins qu'une horreur sur la terre (si ce musicien lui a bel et bien donne naissancei... Eh bien c‘est a noiixeau ce (iu/op qui est \enu nous \ irer les xangx dc bord apres que nous a) onx etc transportes par le Musxorgslty. Dire qu‘il )' a tellement dc beaux morceaux dans le repertoire... c‘est prcsqu'incroyable d‘aioir a subir ce (id/op, si peu authenti- que dc la musique de Schubert. et qui. comme un mamaix manege dc cirque, donne la nausee... ,_ WSeiils-lesiisuisses pouvaient concevoir tin aéroport en pensant (I ceux qui n’ont pas le temps de visiler Ia Suisse! / / Les Suisses savent bien que les aéroports ne sont pas des endroits ou l’on aime attendre. % C’est pourquoi l’aéropor’t de Zurich a été concu pour vous i .1 ohnson donnera du fil a retordre a Bourassa (Suite dc la page I) Le l3 avril l981. le PQ de M. Rene Levesque avait remporte 80 siéges oontre 42 au Parti Liberal de M. Claude Ryan. Aprés plusieurs elections panielles, des démissions et le realigne— ment de cenains pequistes a la suite du virage idéologi» que sur l'independance. la repartition des sieges a la dissolution de l‘Assemble’e nationale n‘e’tait plus que de 61 pequistes centre 53 libe’raux et 6 indépendants; deux sie‘ges restaient vacants. Les tierspanls ()n remarquera en I985 plus d‘activite’ que dans le passe du cOte' des tiers-panis au Quebec. Le NPD de M. Jean-Paul Hamey (ex- professeur a I‘Université York et ex-president de I'ACFO-Toronto!) compte presenterdescandidats dans tous les mmte’s. méme s‘il n‘en avail qu‘une douzaine de choisis au moment du declenchement de la cam- pagne. M. Hamey veut souligner le fait que MM. Johnson et Bourassa tien- nent a peu pres Ie méme langage (c‘est ce que le leader federal Ed Broadbent disait de MM. Tumer et Mulroney) et il a déja rejete l'ide’e d'une alliance avec le Mouvement Socialiste fonde’ par le syndicaliste marxiste Marcel Pepin, qui veut presenter des candidats dans une di/aine de circons- criptions. Le Pani ('onservateur du Quebec. organisation dirigée par M. Andre Asselin qui avait remporté quelque 30% du vote lors d‘uneélection partielle, mais que n‘ont pas reconnue of- ficiellement les conser- vateuis fe’de’raux du premier ministre Mulroney (ami per sonnel a la fois de M. Bourassa et de M. John- sonl), souhaiterait egale— n‘est toutefois pas encore assure dc pouioir recriitcr tin iionibre respectable dc candidats, bien qu'il a deja annoncé qu‘il sepreseiitcrait. 4° /////// ment participer a la carri- pagne e'lectorale. M. Asselin A droitc egaleinent. on retroiivcra le l’arti liber- tancn, qui n'a pas fait parler dc lui depiiis longtemps, mais qui de\ rait faire acte dc presence dans pliisieurs cir- conscriptions. lini'in. Ie Parti indepen- dantixtcs de M. Denis Monierc, qui avail de’ja un de'piite a l'Assemble’e Na- tionalc en la personne de l‘ex»peqiiistc Pierre de Bellefeuille, devrait se iiianifester liii aiissi au cours de cette caiiipagne. ()n s‘at- tend 3 cc qu‘il ne pre’sente que quelques candidats. dont MM. dc Bellcfeuille ct Moniere, aiiisi que l‘ex» president dii Moiivement national des Qiicbecois, M. (iilles Rheaiimc. F.B. Rien ne va plus a Thornhill (Suite (10 la page I I l c ilii‘ccteiii‘ dc \‘iiiigliiin Hydro, M. Droid Robertson, iiidi~ qtic qii‘on iic x‘csi julliills pliiint iiupai'iiuint dc l‘iinilingtiisiiic dii xci'\ ice et iiiic lti coinpiignic n‘en— \isiigc pas tic changer ccttc pi‘utiqtic. ul)‘iiil» lciii's, tlit-il, cc sci’tiit iion pits cii fi'iiiiciiis iniiis cn itiilicii qti‘il iiiiitli'iiit tl‘iihoi'il ti‘iiiliiii’c lcs tlociiiiiciits dc Viiiigliiiii iiMilU piiixiiiic lii lllilr joi'itc tlc Iii popiiliitioii dc ccttc iniiiiicipiilitc ext il'origiiic italicnnc.» Mi ct Mine ”Cllllil ont qtiiitic cnfiiiitx, tlc 5 ii l7 ill]\. «I cs aliniciits con- serves an pourri. refrigeratciir Ulll aucunc Itiiiiieic. itiiciiii ilpl‘illl'cli iic l'oiictioiiiiiiit ct il n'v innit pas tl'clcctiicitc poiii chiiiill'ci l‘ciiii ct Iii iiiiiixoii pciiiliiiit totitc iii iiiiii l iicoiiic M. Benita. lllllL‘ll\. (‘cliii-ci ii‘ituiit Dit\CliL‘0lL‘ngiCsUllL‘Ullir pic il‘clcctiiciic. iniiis on liii it\ till itccoiclc llll ilcl.ii siipplcinciituiic... iiiic ilir loiiiiiiiioiiqiiiii'.i\iiit.ipi p.iiciiiiiiciit p.ix cic liiiiix inisc .lll tiL‘l‘illlL‘lllClll cli.iigc ilcs coiipiiics tlc \‘Ullliiiil M. liciiitii xc egalcnicni tlcs xci\iccs postiiin ti llioi‘iiliill: ll pliixiciiis icpiixcs. sillrli. tics c‘lis‘tltlcs (clci'llti‘llc, giiI, ciihlc, ctc.i sont postcx ii tcnips inais xont li\ res lies en iciiirtl oii iic [‘iilllll xc i’ciitlcnt iiiniiiix it destination. I 'l \/l/'('\\ l/(‘ [mun/u conii.iit il'.ii||ciiix tics dil- liciiltcx sciiililiililes met CL‘llillll\iiC\C\dbUllllCSdC llittl‘lilllii. ii qui lc jour- iiiil cst poxtc t'CgtlliL‘t‘L‘~ iiiciii coiiiiiic les antics, iii.iis qlll iic lc iecoi\ciii iiiiiiiiix on .i\ cc hcuiicoiip tlc ictiiitl. ‘\ cc siiiet. M. l co liciiiici. icspoiixiililc tics sL‘i\ ic cs .t lit (llcillClC tic lit Socicic s‘illiiliiicnlit‘ tlcx posicx .iii xicgc sociiil tlii cciiiicw illc. estiiiic iiiic lc piolilciiic sc sittic x.iiis iloiiic tlll lli\ L‘illl tlcx ciiiplmcs |i\ic:ii's tlii coiiiiici ci pioiiici tl‘cii xiiisii Ics \lll‘t‘HlsL‘llfN LiC lilOI'lllllii. F.B. transferts. d‘y rester. ou Swissair. Appelez votre agent de voyages Souvent — en moms d ’une heure et sans efi‘on — vous et vos bagages passez d’un vol a un autre. (Et au depart de la Suisse, Swissair vous oifre des vols a destination d’une centaine de villes de par le monde, dont 44 en Europe.) Avec le choix Swissair de First Class, Business Class et Economy Class 21 bord de tous les vols. Finalement, en dessous de l‘aérogare de Zurich, se trouve une gare ferroviaire modeme d‘ou des trains rapides relient plus de 100 villes en Suisse, en France, en Allemagne, en Autriche et en ltalie. 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