Semaine du 22 au 28 février 1983 A L’EXPRESS — 5 I g. agitate: g'“ I g. §§§§§p§mtitz :mmzta... REUN'ON PUBL'QUE courts DE FORMATION D’INFORMATION pour sur le LES ENTREl’RENEURS e PROGRAMME ”AIDE: M'UF LES PROPRIEIAIRES D’HABITATIONS ISOLEES A LA MIUF ENDRO'T: Winston Churchill Collegiate Institute Un cours de 4 jours sur les mesures correctives est ADRESSE: 2239 Lawrence Avenue East offert par le Programme d‘aide féde’ral: MlUF. Toute HEURE _ Scarborough, Ontario personne intéressée est priée de s'inscrire immediate- - 8.00 pm. ment. DATE : 23 février 1983 DATE DU COURS: Toronto (Ontario) ENDROIT' North York City Hall ENDROIT DU COURSI du‘ 19f au 4 mars 1983 Council Chamber ADRESSE 5000 Yon e Street . Toronto, ntario . . HEURE. 8200'p.r_n. . POUR S INSCRIRE, DATE 1 24 tevrier 1983 Téléphonez au: 1-800-567-6870 (sans frais) . ou ‘ . . , . - 1-819-994-0921 La séance d‘information Inclut des presentations audiovisuelles et une période de questions. Des ' . 0U , représentants du Centre sur la MIUF seront presents. Ecrivez au: Centre sur la MIUF, Hull (Quebec), K1A OCQ BIENVENUE A TOUS Monique Mercure, en nomination, pour sa performance dans La quarantaine, pour le Génie de la meilleure actrice. IOI Canada Canad'a' Les Prix [Genie 1983 ‘ Rae Dawn Chong personnifiait une “femme des cavernes” appartenant a une tribu plus avancée dans La guerre du feu (Quest for Fire). Comment se portent vos finances? Pour recevoir le livret «Finances en forme» gratuitement, téléphonez ou écrivez a: Mohammed Lahbabi Suite 200, 235,boulevard Yorkland Willowdale, Ontario 497.3800 Slnlife En forme pour la Vie. (Suite de la page I) simplistes sur la vie de hors— la-loi. _ Ensemble, ils effec- tuent plusieurs vols fort lucratifs en route pour Portland, en Oregon, 01] Tracy espére retrouver celle qu’il aime, une fille de juge. A la remorque d’Holly- wood (et meme de l’Austra- lie), voici une autre pale im— itation d’un genre mori- bond. Style balourd, situa- tions e'culées, “ton in— timiste” (c’est-a-dire petit budget), interpretes fati- gués, bref, cété artistique ou commercial, l’équiva- lence d’un méme aboutisse- ment, l’impasse. Une journe’e en taxi: lorgnons vers le Que’bec pour restimuler notre in- térét cinématographique. Robert Ménard, dans un premier opus, renoue avec la gouaille populo de la “Vieille France” et le Organismes a but non lucratif ‘ “Participez _ l , K , a l’avenir deSJeunes ' i - les 4 et 1 l mars par des stages Par ailleurs, Ie gouvernement du Canada aide les étudiants a parfaire leurs connaissances en financant des stages de formation pratique au sein d’organisations déja établies. Tous les organismes Sans but lucratif et les administrations locales peuvent étre financés pendant des périodes allant jusqu’a trois étés consécutifs. Les emplois doivent étre a plain temps, s’inscrire dans Ie cadre de travail normal at durer de 6 a 18 semaines consécutives durant les mois d’été. Toute demande doit étre soumise par i’organisme intéressé, au plus tard le 11 mars 1983. Date limite: ll mars (1983 par des projets Dans le cadre de son programme ' ETE CANADA, Ie gouvernement du Canada finance des projets concus pour l’été qui offrent aux étudiants des emplois productifs dans leur localité. Chaque projet d’été doit employer au moins trois étudiants de l’endroit et produire des biens matériels ou des services utiles a la collectivité. Les demandes de subvention doivent étre soumises par la localité ou l’orga- nisme intéressé, au plus tard le 4 mars 1983. Date limite: 4 mars 1983 leur candidature au programme au Canada. Canada. Centre d’Emploi du Canada. Les organismes intéressés doivent communiquer avec le .. ”Centre d’Emploi du Canada ou le Bureau du développement de l’emploi le plus proche. Cgrtigida —_ Iii! Emploi et Immigration Canada Employment and Immigration Canada Lloyd Axworthy, Ministre Lloyd Axworthy, Minister pour les étudiants Tous les étudiants pe'uvent'poser ETE CANADA 3 condition d’avoir l’intention de poursuivre leurs études et d’étre Iégalement autorisés a travailler Pour leur donner l’occasion de dévelop- per'et de mettre a l’essai leurs connais- sances tout en étant salariés, ils seront choisis en fonction des postes offerts par les stages et les projets d’été sub- ventionnés par Ie gouvernement du Les étudiants intéressés doivent s’insc‘tire le plus tOt possible dans un / réalisme bétonné d’un Martin Scorsese’ (Taxi Driver), sans la furie sanglante ni le pessimisme glacial qui démarque ce dernier. Un scenario solide, une caméra bondissante et deux interprétes en or, Jean Yanne et Gilles Renaud. Libéré de prison pour 24 heures, Johnny n’a qu’une idée en téte, se venger. Quoi qu’il advienne, c’est au- jourd’hui qu’il réalise son projet: liquider Steve, qui l’a trahi... et ensuite se suicider. Mais cette journée tourne au tragique, puis l’in'attendu survient: l’espoir d’une profonde et véritable amitié avec Michel, le chauffeur de taxi engage pour poursuivre Steve. Sur le contrefond d’un Montréal décapé de son vernis touristique, l’odyssée sympathique de deux paumés. Quest for Fire: un des premiers succes interna- tional duv cinema canadien, cette somptueuse co-pro- duction avec la Francese savoure comme un reporta- ge animé du type “National Geographic”. Les mam- mouths volent la vedette a Cromagnon. Threshold de Richard Pearce, est’ l’envers de General nospital ou Mar- cus Welby. Ce drame me’dical a la rigueur d’une these scientifique. Donald Sutherland est le docteur Vrain (du V au B, il nfy a qu’un pas... scientifiquel), chef du Département de cardiologie. Un jour,il décide de réaliser la premiere greffe d’un coeur artificiel sur un étre hu- main. lnutile d’insister sur les ramifications «contem- poraines que suggére un cas recent et de’sormais histori- que. Traitement au scalpel, techniquement impeccable et absence complete de pathos. Fascinant, mais frigorifique... Absence inexplicable au palmares: Les fleurs sauvages, de Jean-Pierre Lefebvre. Les membres de l’Acade’mie ne s’embarras- sent guere de poésie et de subtilité. Plusieurs acteurs in- téressants sont en lice pour la palme de la meilleur in- terpétation masculine. Gilles Renaud (Une jour- née en taxz), Saul Rubinek (le par ailleurs désastreux By Design, de Claude Jutras) et Marcel 'Sabourin (l’archa'i'que Les doux aveux) sont tous des come- diens chevronnés, dont les talents se sont affirme’s auparavant sur les planches et a la télévision; August Schellenberg (Latitude 55) et Donald Sutherland font carriére au cinema depuis longtemps. Céte' féminin, la concur- rence semble moins palpi- tante. Les Sara Botsford (dans l’inutile By Design), Rae Dawn Chong (Quest For Fire), Andree Pelletier (Latitude 55) et meme Helene Loiselle (l’af- fligeant Doux aveux) doi- vent s’incliner devant l’évidente brillance de Monique Mercure (le meil-, ' leur élément et, de loin, de La quarantaine, un me’lo perclu de clichés). La cuvée cinematogra- phique 82 est acceptable: guére de grands crus, quel— ques nouveaux vignobles prometteurs et beaucoup de piquette vinaigrée. En l’absence de Lefebvre, 1e Genie de la meilleure réalistation revient par l’évidence d’un début brillant a Robert Ménard, meneur des jeux d’amitié du revigorant Une journée en taxi. El