2 -- L'EXPRESS
La nuit AMERICAINE de Jacques Parizeau Quand 1e diplomé du London School of economics rencontre les financiers yankees
MIVILLE BOUDREAULT pour L'L xpiess
En 1989, quel ues mois apres
son election a la irection du Pani uébécois, Jacques Parizeau avait
ait un saut darts la capitale ontari- enne pour prononcer un discours devant l’Empire Club. Pour l’occa— sion, plusieurs journalistes qu’on ne rencontrait pas habituellement dans ce genre d’événement s’étaient déplacés, signe révélateur de l’intérét souleve' par le visiteur.
Avec son anglais d’OxfoPd et son mmplet trois ieces style banquier des arinees 5t,l’ari1eau ne jurait was dans le decor. Adepte des lionues rnanieres, il avait volontiers porte uri toast .3 la sante de sa Ma- ieste mmnie le veut la tradition On attendait impatiemnient l'allocu— tion du distingue inVite, un indi— i'idu imposant et qui en imposait
("est a ce moment-la qu’un deuxienie Jacques l’arizeau s'est revele Sur un ton elegant, le pro- fesseur l’arizeau a calmenient ex» plique a son auditoire que l’in- dependance du Quebec etait inA eluctable, qu'il n'y avait pas lieu d’en faire un dranie epouvantable et que, finalement, il etait haute» merit preferable que tout le monde s'entende pour un divorce a l'arnir able
Au fur et a mesure que le chef pequiste ai'ancait dans so demolis- tration, on sentait one question tir- culer de table en table: comment est-re possible que cet honinie de raison, eminent economiste. l'un des rares indiVidus qui conipren- nent daiis ses moindres details l'e\~ tremement complexe systenie de perexpration canadien. puisse pre- cher cette aberration separatiste 7
('ette question, plusieurs se la posent encore La semaine demiere, c'est chez nos voisins du Sud que Jacques l’arizeau est allé porter la bonne nouvelle, en particulier chez ceux et celles qui detiennent les cor- dons de la bourse dans les tours de vem‘ de Manhattan.
le voyage etait important. l’our Wall Street, tout ce qui provient d'un de ses plus importants em- prunteurs est du plus grand interet.
Jacques Parlzeau
Et voila u'il souffle de nouveau dans les mi ieux financiers ameri- cains un vent d’incertitude sur l'avenir du Quebec. Les gestion- naires de banques d'affaires, de trusts financiers, de tonds de pen- sion et autre bailleurs de fonds du vouvcrnenient quebecxiis croyaient hit-n que le bateau souverainiste s'etait echoue definitivement on certain soir de mai 1980. Mais l'idee a repns une Vi rueur qu'ils ne trov— aient plus possi le
Rapidement, des rapports in- quretants pour les investisseurs ont commence a uiuler dans la resse. le plus alarniiste du lot, rea ise par la maison de triurtage First Boston,
BOURSES D’ETUDES D’EMR
Année 1991—1992
'O o l'iltsl1r“virt‘scsrirliltlts.rlri' ‘..il_'Ul l " ‘lll" \ tl‘_l\ll’l l3llil ll,‘\'_i r writ-l llllt's iiiiu‘ ll'l i'iii siijiii;;Iii:'iil.iit\
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L'ENERGIE DE NOS RESSOURCES
NOTRE FORCE cnéarmcs
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VIDANGE D’EAUX usées A PARTIR D’EMBARCATIONS DE PLAISANCE
Modification de reglements pris en application de la Loi sur la protection do I 'environnement
APPEL DE COMMENTAIRES
lt‘ 'lllllISlW‘,‘ fii‘, ilnvironnriinent iiiwtc to public ii in taire part do scs rriiiiirinniaires siir Iris modifications oroposecs tilt! inglernents 305 et 310 oils '3“ aniiliiali'i' Iii ii for 811/ /a protection (in lf”'i/l/()/l/lt',‘/7)E/lf ll sera fllllf‘llilViil'ii inteiilii tll‘ iiiiversor (tans les tars til i", iii/mics (in IOntario les ‘filllx own, oil Iii iiriiii tie at (in lei/int rt iine i‘ll‘fiil’l ’iltlll rte plaisance
lei. "lflflillf ,itirii", iiiliniinee'. on: porn tint rte wiii. ll‘ lil pollution de lean ot visent lii'. eintiarrations iioiivelles et oristiintes les nlaisancmrs devroni llltlllll leur einoarcation it till rosreivoir pour les ",illlX iisees ct deverser cos
can: rians one station (in noinpaqe
i e Mll‘l'ilfllf‘, .i llmllrllf‘ iini: troiisse ri tlliflllllillltil’ l]lll expliriue en detail Iris iiiriditir,.itiriris envniarienf. Iniir raison d titre iii on on etles impliquent pour ins iilai<,,iiir;iors fin rieiit otitenir matte trouser! w tolephonant an Centre
(1 llllflllllilllflll riii Minislero au (MM 373 437i
Viiiiilliz/ lrlllfi lMlVl’llll i/ll'. Lorriiiientaircs oar f'( it iiviiri: In 30 avril 1991 .1
Ruth Grier Mlnistre tie l'Environnement 15' elage‘ 135. avenue St. Clair ouest Toronto (Ontario) M4V 1P5
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tiriliiim
Environment Envrronnement
fait preuve de pessimisme sur les perspectives economiques du " rix yer” d’un eventuel démem re- ment de la {odoraton canadienne. Jacques l’arizeau a done dfi so faire rassurant. Et prudent. 505 in— terlocuteurs avaient un épiderme bougrement plus sensible que les amis de l’Empire Club. Une parole de trop, one phrase mal comprise, une expression maladroite et tout pouvait basmler. l’arizeau devait egalement avoir a l'esprit les lecons tirees des pe'ré- grinations de Rene Levesque air pays de la finance. On connait maintenant les gaffes qu’il a com- mises‘ dans ses relations avec le grand capital, relations relatées avec precision par le journaliste Jean- rancois Lisee dans son ouvra e Dans I’Oerl tie I'urxle. Man ue u plus elementaire sens dip oma- tique, strategie a la va-comrne—je—tcL pousse, absence tlagrante de vision d’ensenible, le dossier n'est vrai- ment pas a l'avantage de l'ex-pre- mier ministre qui, pourtant, repétait a qui voulait l'entendre son attache— ment pour les Etats-Unis et sa pro fonde connaissance de la mentalité américaine. Comment un politicien de sa trempe a-t—il pu causer autant de catastrophes qui ont coute cher a quelques reprises aux Quebecois .7 Mystere. l’arizeau devait donc eviter de tomber dans les memes tra apes. ll devait egalement repondre aux questions habituelles sur l'éco- nomie d’un Quebec souverain, la iartinpation du nouvel Elm a NO— AD et a l’OTAN, sur la fismlite et autres A chaque reponse, le chef pequiste repetait aux Americains ce ue ms demiers aiment bien enten- dre. En contrepartie, Jacques l’arizeau se disait confiant de \Ulr les [Stats-Unis, le ” porte-etendard de la deniotratie mspeder la dé- cision prise demodatiquement par un peuple ami. iin di iloniate, M l’anzeau s'est de plus clit “ iriipressionrie ” par le ta-rat tere de relative neutralite adopte par Washington ces derriieres annees sur la question tonstitutionnelle canadienne, mal- gre le tait que le president Bush ait .iltit he on preiuge favorable pour iiri k ariada " tort et uni " [e seiour aux Ftats—Unis de Jaoques l‘arizeau s'est finalement solde par tin siil‘ct-s “vi N‘s hotes‘ n'rmt pas‘r dosse, du nioiris publiquement, son proiet, il rie l'ont pas desavoue non plus (‘e qui est deia beaumup
E tat de sante’ des personnes fige’es Les femmes
désavantagées
MONTREAL (PC) - les fem- mes, c’est connu, meurent plus vieilles que les hommes. Mais l’avantage s’arri'te la car passe 1: cap de la retraite, leur qualité de vie dé 'ngole. L’incapacité et la maladie les frappent plus rude- ment quc leur conjoint mas— culin.
Si les Canadiennes peu- vent en moyenne espérer vivre 80 ans avant dc voir la Grande Faucheuse, comparativemenl a 73 ans chez les hommes, une étude récente de Statistique Canada démontre que cet écart s’étiole vite quand on scrute la
ualité dc vie et l’état de santé
es personnes igécs. De fait, le fossé qui semble séparer hom- mes et femmes est ramene’ a moins de quatre ans lorsqu'on parle d’n-espe’rance de vie sans incapacite’». En fait, révélent les données plus récentes, les fem- mes canadiennes peuvent es- pérer vivre 64,3 ans sans inca- pacité physique ou mentale, comparativement 61,3 ans pour leurs collé ues masculins.
Aussr, mame si le enrc féminin peut se targuer 9 sur- vivre en moyenne 6,8 années au genre masculin, les chiffres dé- montrent que les femmes ne passent en fait que 3,6 de ces années en bonne santé.
Unc auto-evaluation effec~ tuée aupr‘es de gens du troisieme age in Canada jetle un éclairage nouveau sur les differences qui séparent hom- mes et femmes dans les demiers toumants de la vie. Si l’état de santé dé énere en ge’néral aprés My 2 75 ans, la maladie semble aussi discrimi- ner selon lc scxe. L’arthrite et les rhumatismes, par exemple, s’en prennent ‘a pres de 50 pour cent des hommes de 65 ans et plus. Toutefois, chez les fem-mes, l'incidence de ces maladies at- teinl 60 our cent. [)e la meme facon, l’ ypertension s’attaque au tiers des hommes ages, mais a plus de 40 sour cent des femmes ayant épassé 65 ans. Seules les maladies cardiaques malmenent encore davantage les hommes entre l’age de 65 ct 74 ans. Mais passés 75 ans, la maladie gagnc du terrain dans le dan féminin.
LE QUEBEC Des casinos au Québec?
§§MBW§B§§AU 11 ”“3199.
NORMAN DELISLE
Presse Canadienne
QUEBEC (PC) — Le ministre québécois du Tourisme André Vallerand entend convaincre ses collégues de la pertinence d’ins- taurer des casinos au Quebec.
«Ce serait premature de par- ler d’une loi en ce sens des ce printemps mais j’ai une demons- tration a leur faire sur l'a-propos de casinos», a declare le ministre,
M. Vallerand est aoquis a l'idée et a toute une sene d'a unients a faire valoir en faveur de 'instaura-
tion au Quebec do casinos gérés par l’Etat". ces casinos constituent une source de revenus apgreciable pour le ouvernernent n parle meme d une Cinquantaine de mil- lions de dollars par annee,
Les premieres indications en provenance de Winnipeg, ou un casino d'Etat existe depuis deux ans, n'indiquent autune recrudes— cence de la criminalite dans le secteur de l’établissement,
Les mentalites ont evolue et on doit composer avec la nouvelle realite», affirme-t-il. Le ministre entend entreprend re dans les
prochaines semaines une tournée des principaux sites do jeu comme Winnipe et Vancouver, les Pays- Bas et onaco et meme Atlantic City, au New Jersey, afin de voir la facon dont les maisons de Jt‘U sont gerees.
«Je favorise des casinos de modele européen, c’est~adire pos- sedes, géres et contrOIes‘ par l’Etat», a dit le ministre Andre Vallerand.
Cela exclut le modele amen- cain, de t 0 Atlantic City on Las Vegas, on es établissements sont detenus par des intéréts pnves,
MONTREAL (PCl— Le Colleclif anti-féminisme du Québec (CAFQ), un mouvement d’hom- mes né ‘a Montreal, commence a s’afficher de plus en plus publiquement, apres deux années de mi itantisme plus ou moins souterrain. Le mouvement fait no- tamment circuler un long mani- feste de 140 récriminations, qui constitue une lon ue charge a fond de train contre es fémimstes en particulier et pour ainsi dire contre les femmes en ge’néral.
«Le but de ce manifesto est de faire prendre conscience a certains hommes de leur ex loitation ar les femmes, ex liqueitl Jean—Claude Rochefort, philosophe de fomiation et responsable du document C’est de rler erifin au nom de cene ma- jorite silencieuse qui s'empeche d'emerger, par un certain souci de chevalerie culturelle. »
Le CAFQ regrouperait une
oentaine d’hommes, dont l'aetion a consiste tout d'abord en des discus- sions de cuisine sur la condition masculine. «De ce nonibre, indique M Rochefort, plusieurs ont ete lessives par leur temnie devant les tribunauxi lls ont perdu (infants, maison et tout le niste,»
M. Lucien (Iauvm, pone-pa- role ofticiel du gmupe, s’apprete a publier un livre dans lequel 1] se propose de demontnsr par l’hisloi re
Manifeste d'un mouvernent anti-féministe "Faire prendre conscience a certalns hommes de leur exploitation par les femmes"
de l’humanite que le feminisme est une ideolo 'e fasciste. Joumaliste et redacteur dit metier, M, (Jauvin a (at ans; son collegue, Jean-Claude Rochefort,en a 42.
«ll y a entre l'homme et la femme un fossé ue les feministes ont rendu definiti , declare M. Gau- vin, au cours d’une entrevue. Les hommes sont en train de devenir indifferents a l’égani des femmes.»
lntitule «Liste des 140 injus- tices» dont sont victimes les hom- mes de la part des femmes en general et des feministes en arti- culier, le manifesto du CAF fait fleche de tout bois.
ll va de clauses mmme «L'hom- me fait les travaux les lus mal~ sains, les lus sales, les p us durs et les plus Gran ereux» et «L'homme ne parle pas e sa Cundtt‘lon. ll a ete conditionne et mani-pule par les femmes a ne pas se plaintire» a d’autres comme «Les gouxerne- ments forcent l’honinie a firiancer ses ennenues feministes a meme ses 1m its»
i . Rochefort reconnait le ton caricatural de certaines de t es lllll recriminations et aussi l'impression parfois exageree qui peut s'en de- gager. Mars 11 retorque que lr dom- ment avait voulu etre rt‘spertueux des griefs de chacun, d'une part, et
ue, d'autre part, les hommes iie :liargent ni plus ni moms que ne le
font les feniinistes.«C'est certain c u'on va etre ridiculises, dit-il; d’ailleurs, on l’a deia ete par cer~ taines chroniqueuses de joumauxt Le tabou de la condition masculine est immense et on he pense pas reussir a changer les regles du jeu dans le temps e le dire.
Les hommes sont genes de par— ler de ca. Historiquement, les hom— mes ont toujours protege les femmes. ll n’etait donc pas question de se renrer tout d’un mup mam? elles». '
Mais il semble que ce sera maintenant fait par certains. «Oui, i] y a des iniustices faites aux femmes, accepte M. Gauvin, mais des inius— tices sont faites a tout le mondel l’as plus aux fenimes.
Les feministes sont devenues les dames patronnesses, les Dames de sainte Anne et les Entants de Mane de l'ere moderne.
Les filles de bourgeois se cher- chaient un role a jouer dans la so- ciete Flles ont decide de lancer le teniinisnie .,
M (QauVin estirne que les fermn» l\i('\ ne \dllVl‘l’Ullt Pd\ plUN l("\ temmes qllt‘ l(‘\ ptlllilk M‘n‘ n'ont de a reussi a sauver le bon peu ‘10 ll les accuse meme de more a la femme rnoyenne «en avant notam“ ment fait disparaitni le respect tra- ditionnel que l'homnie avait tour iours eu envers la femmen
,, ("if A ’,‘-:“ ‘
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* COMPAS, LE SYSTEME DE GESTION DE LA CIRCULATION REUT vous DIRE CE QUI SE POINTE A L’HORIZON.
(i (iomme usager tie l autoroute 401 eritre Mill'ill' (.rove Roar} et la rue Yonge ave) vous (leia soutiaite won one tioule rte (:ristal our vous rionrierait les
«MAX aiitomoliilistes oiii orit llt“;(llll ii ii 15w A ’t lieurr- rlu Jour oil (to la iiiiii
Comment COMPAS poutsil vous alder?
COMPAS ririsr pas Ia soiiitiori iiltimi- .i iii ia iirntilenies (It’(,lY(,lllé)Il()ll llldl‘w ll neiit , .iriririrti ' rte nomtireuses rllll(‘ll()fdil(lll‘i telleu (it ill iii congestion et les (lt‘ldl‘. rliimrit Ir-s iii-i mm 114‘ minute et les situations it tirgi'iir1l-s. N‘lli ilfl' to viriiiit m et la severiti‘ (les tilt lflf‘lli'x (IlthllHtl’t iv toiiigiu iii reporise ties veliir tiles (1 iirgerico i-i tll”, whit (t'assistance pour les autoriiotiilistes rlllu'lll‘ll't i llrifoririatiori (lt’stHlllllt‘ iiiix rllthlllltllMll‘sTt‘K si ii l autoroute 401 et a r f‘llX riiii siirioretririt ii lempruriter (illlt‘lltltt‘l Ia sr-ciirite rliiiaiit les TrilVéitl)‘ (t'eritri'tieri et H‘flllllt' l.i (,(lll‘stlllllllilflr iii if (‘SSPHCP (”‘1(it'sr»iiii‘,uirii=urilil'ilriiiiii"
Pour (lilt' (iflMl’AI‘i \‘lll‘ ‘iiii'i it?“ ioiirmitre vos rlittorerites (”Jiirlti‘, iii miter. utiliser I'iritormatiori atticliei- sur les Jlrllll‘l‘dll‘ .i messages variables (it vous platter stir ‘i .ll r riteiiiei it en cas de protileme
Malriterialit V()ll‘s ri ilH'J pii‘. llt‘Sflil it Hit!“
conditions tie la Circulation devant vous
[it him, to ministere des Transports a uueloue chose rte mieux
Uri riouveaii systeme rte gestion rte Ia circulation autoroutiere vient d'etre instrille It s appelle COMPAS rat a ete congu aim (to gerer le (letiit tie la Circulation et de, renrlre l'utilisatiori plus securitaire et plus agreable pour tout le monde
C‘est quot. COMPAS?
COMPAS comprerid (les panneaux a messages variables 0e tine pornte‘ des carrieras do toléwston, (les detecteurs de Circulation, (les orrlinateurs el tin reseau (to communication ave< lii police, les servrces ri‘urgeiice et les Journalistr-s responsables rte I'iniormatioo routiere. le tout est (:oordonne a partir (i'un centre des operations
Comment tonctlonne COMPAS? to personnel de COMPAS surveille a partir rte ce centre In debit at to volume tie la Circulationen
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oeut verifier les problemes et informer les usagers ries conditions (to to Circulation devant eux en (itfichant l'inforrnation sur les panrieaux a messages l variables iristalles le long do I‘autoroute 40]
i in utilisaiit cette, information, les usagers
l rieiivorit riJll‘stOJ’ leur Vitesse au rletiit tie Ia l‘ilf’lllvlilf)“, (torisirlerer (les alternatives. passer rtes voles collectrices aux voies rapirles (on Vice et
iirnples rerisoigneiiwiits illl ‘stlJl‘i til i UMP/Vs compose} le 235 2/31 on to 1 Hill) guy 063/
RH" recevoir tlllt‘ tirriiiiiire griitiiilri \tlll‘i l)0llVf‘/ (‘U’IH’ dit riiirilutr'rii viii. ll.” "(it irtu {iihtrit ' l). Chef ries operations llr‘ i.ii ill llili‘l ii. w/ (li‘ illilllS‘st‘t' Tour Atrium igl ‘. ,i.i r» r“\\“‘-l)l lll)Vi."l\Vlt‘\/V il liitmil iji M {M I “
versai en flltltTIIOH (les conditions de la Circulation M'lll'l‘ "" min les paririeaux auront inrtiquées ill Quanri cost iiertossaire. Ie personnel (lt‘ inn tutti iii
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