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Une famille de Winnipeg remporte le prix Franke
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Un voyage horrifiant suivi de vacances merveilleuses aux Caraibes
FELICITY MUNN
Presse Canadienne
Peu avant No’él 1990, une famille de Winnipeg se pré— parait febrilement a des va- cances dc réve dans les Cara'i'bes.
Malheureusement, l’aven— ture se transforma rapidement en cauchemar accom agne d’un vovage horrib 0 par avion, es maux gastro— enteriques, la disparition de documents de voyage et l’im- possibilite, durant deux jours, de trouver le sommeil.
A l’epoque, ce tut horrible mais, aujourd’hui, Marion Williams eclate de rire lorsqu’elle se rappelie ces événements.
Peut—étre est-co parce que C'est sa famille L ui a remporte le I’rix Frani<enstein du Tourisme accorde annuelle— ment au voyageur rapportant la mesaventure touristique la plus savoureuse.
Grace 5 Mme Williams, pour la premiere fois c’est un Canadien qui a recu ce prix — non convoité — accorde’ an- nuellement par une firme de consultants ame'rimins, depuis a e.» 1984, afin de permettre aux voyageurs frustres dans leurs esperances de trouver une oreille compatissante a leurs malheurs.
l’armi les ex—gagnants, on note un homme qui a perdu ses bagages mEme s’i] etait le seul passager a bord de son avion, un homme d’affaires
ui, durant le meme voya ye, ut assailli et depouille’ par es voleurs, a pendu presque tous ses vetements dans un incen— die a la buanderie de l’hétel et a loue’ une automobile dont la batterie est tombée a plat apres avoir roule moins d’une demi- heure.
Mme Williams a avoue qu’elle ne prévo ait pas rem- porter le prix rankenstein
mal
famille
lo ‘ ’elle a relate son histoire mi pensé, plus tard, qu'il serait surprenant que qui- conq‘ue ait pu etre aussi c anceux que nous en voy-
Le tout a debuté lorsque les billets reserves et les brochures touristi ues furent livres a la illiams deux jours seulement avant le depart pour la croisiere.
N’ayant pas le tern s de consulter toutes les broc ures mises a sa disposition, Mme Williams communiqua avec son agence de voyage et de- manda s’il y avait des choses essentielles u’elle se devait de connaitre. Rien du tout, repli- qua l’agenee.
Si bien que Mme Williams, son mari Ron et sa {ille Tanya monterent gaillardement a herd de l’avion pour Min— neapolis, ou ils devaient tran— siter pour emprunter un autre vol vers Miami. A cet endroit,
prend re l'autobus le lende- le vo main matin pour l’embar- cadere. A Minneapolis, une tem— ete de neige avait provoque a termeture de l’aeroport, :1 l’exception d’une seule piste. L’avion touma au—dessus de la ville durantdeux minutes, avortant deux tentatives d'at-
demier end mit.
Soudainement, il y 3 out eux habites.»
«comme un bruit d'ex losion»
et une «vive lumiere b eue ap— arut dans l’avion», affirme me Williams.
«Les gens criaient. Nous nous tenions les uns les autres‘, certains que l’appareil allait s’edaser
«Le pilote est alors apparu et nous jura que tous les sys- temes fonctionnaient. En rea- lite, ce qu’il dit, c’est que les systemes «semblaient» etre operationnels. Rien pour nous reconforter.»
vous vou soit puissant».
ils devaient passer la nuit et Le ilote annonca alors que
l3 etait deroute Rochester, 21 20 minutes au sud do Minneapolis, en raison de la fermeture de l’aeroport ‘a co
«Un passager, derriere nous, s’ecn'a que le discours du pilote n’etait que de la poudre aux yeux et qu’on etanait tout sim lement l’avion pour l’em— terrissage. pec er de s’ecraser sur des
I
En route pour Rochester, un agent de bord invita les pas— sagers a prior «10 Dieu que
02, en autant qu'il
L’appareil se osa heureu- sement sans ma a Rochester or] ii resta deux heures sur la piste, attendant le feu vert Slur retoumer a Minneapolis.
rant la longue attente, l’in- genieur de bord se presenta dans la cabine des passagers et affirma qu'aucun des mem- bres d’equipage n’avait jamais
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n'ences.
ll expliqua que le phe- nomene s’apparentait a une charge electrique s’au‘umulant dans l’atmosph‘ere, war temps froid. ll ajouta quel equipage avait ete tout aussi terrifie que les passagers par la decharge
electrique.
Miami.
tard pour
chemin vers iami.
assiste auparavant au flash lu- mineux qui s’etait produit en vol, mais qu’ils avaient deia entendu parler de telles expe-
A Minneapolis, enfin, la famille put s’embarquer pour
Malheureusement, ils ne urent trouver qu'un avion aisant mute vers Orlando oii ils am'verent apres minuit, trop oursuivre leur
Apres quelques heures de ropes dans une chambre d’ho- te , durant lesquelles Ron eut une violente crise de gastro- anterite, la famille obtint des places a bord d’un vol pour
Miami, :1 six heures du matin. A Miami, ils prirent l’autobus pour Fort Lauderdale. l’ouvant enfin se relaxer, Ron se mit a lire les brochures remises par l’agence de voyage et demuwit, a sa smpefaction, que les Canadiens devant par‘ ticiper a cette croisiere de- vaient etre munis de pas- seports ou\de certificats de naissance. A l’arrivee au ba— teau, «les eclats fuserent de tous bords» lorsque le preposé a l’embarquement decouvrit que la famille Williams ne pos- sedait aucun de ces documents «indispensables».
On les conduisit a la rare maritime ou, durant eux heures, ils multiplienent les a pels telephoniques au Cana a, obtenant de leur banquier qu’il retire leurs passeports de leur cotfret de setunte et transmette des copies certifiees des docu- ments dans chaque port qu’ils devaient toucher.
ALBERTVILLE (AP) - A Al- bertville, comme dans la lu art des stations olym iques, es feux n’ont pas attire les foules que l’on es érait, et beaucoup atten- dent a fin des Jeux et les va— cances scolaires pour voir arriver les touristes.
La situation cependant n’est pas sombre pour tous: si les com— mercants sont de’qus, les hetels et beaucoup de restaurants n’ont pas a se plaindre, selon les te’moi— gnagies recueillis ca et la.
« es commercants qui vendent des objets lie's aux Jeux (souvenirs, gadgets, tee-shirts, pin’s) he sent pas decus», declarelt-.rr1—Claude Avenel, president de l’Li on des commercants d’Alel’lVlllt' (. ' so— ciation qui compte l5l) membresi.
«En revanche les autres com- merces qui ne sont pas relies aux Jeux (vetements, chaussures, ali- mentation, etc.) ont des difficultes Mais nous les avions prevenus
ue ce ne serait pas une periode aste». Quant aux bars-restau- rants, «ils sont satisfaits», dit‘il.
Pour Cilles Lombard, le di- recteur du restaurant «L’Etrivier» pres de la gare (150 couverts en moyenne par jour), «ca marche bi- en».
C’est une clientele qui se fidélise depuis le debut des Jeux: des ltaliens, des Japonais, des Sue- dois, quelques Americains».
«Je suis ravi», dit l’ierre Rey, le jeune directeur du restaurant «La Crenette» a l’entree d’Albertville, pourtant loin de la patinoire olym ique.
ll ait lui aussi 150 couverts par jour en moyenne, mais ce t'ut le
LES TOURISTES AUX JEUX D'ALBERTVILLE Certams commercants
n'ont pu en
double lors‘ de la ceremonie d’ou- verture.
«l’uis il y a eu une coupure de deux—trois jours, et c’est reparti depuis une semaine»: le restau— rant refuse souvent du monde mi- diet soir, «alors que d’habitude quand on fait 15 personnes le soir, on est content».
l’our Christiane Brachet, qui possede le bar «La Chope» dans la rue principale de la ville, «ca va bien. Nous avons engage une troisieme serveuse pour la duree des Jeux. Mais ca no va pas aussi bien pour les autres commerces de la region».
A art les boutiques de gad- gets, es commercants tradition~ nels estiment en effet, dans l’en— semble, que les touristes acheteurs sont moins nombreux que d’habi- tudo.
Un magasin d'articles de sports a ferme pour les Jeux et d'autres ont loue leur boutit ue a des com- merces plus renta les pour les Jeux (sponsors, gadgets, pin’s).
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A l'Espace-92, un village bache pres de a mairie qui regrou e commercants et restaurants, le i- lan est pour l’instant plutfit ne- gatif. Certains soirs ont e’te bons, mais il y a dam l’ensemble moins de monde qu'espere.
Dans les stations, les hotels etaient sou vent pleins, les meil— leurs etant reserves par le COJO pour les officiels ou les delega»
tions Mais cela fait autant de tourisws en nuoins dans les restau— rants et les boutiques, car souvent les chambres reservees ~ et payees - restent vides.
Pour les decus du tourisme olympique, les Jeux ne sont donc qu’un mauvais momenta passer. Mais s’il est trop tot pour [aire un bilan, beaucoup pensent que ces Jeux, finalement, protiteront a toute la Savoie: la saison a ete tres bonne presque partout l’ete dernier eta Noel, et pour l'avenir on espere que la notoriete olympique aura des retombees economiques sur la region .
ll faut que ces leux «ne soient pas l’histoire de 15yiurs mais bien celle d’un lent emain pour l’ensemble de la Savoie», selon Jacques Colliet, president du Comite Regional du Tourisme (Savoie et Haute-Savoie).
«Les Jeux olympiques, c’est ce qui s'est passe depuis 1986, et c’est ce qui va seéiasser ensuite», resume Jean-Clau e Avenel.
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