Cult FRAHCIM) TORONTO-PARIS NON STOP mus LES JOUBS RESERVATIONS: k 1-800-667-2747 J ignmi<_)..>ii{_i§;ii .wxuuo 3'1 7 447'7:_V__ PRO I’A'I‘RIA SAEPL: PRO LIBERIA] I; SEMI’ER. L’ EX HEBDOMADAIRE I'D’ACTUALlTE NATIONALE .4 -— rv ' ' ET INTERNATIONALE ”TRAVEL TREND (416) 922-797? VIA AIR TRANSAT Aller-retour par personne ' in pm in loinprt'nm-nt pm In [1'5 L m In Li‘k‘ dc drpatts ' J _j_l___.’_\l.-\l.\1- on 10 AI 1 25 SLI’I LMBRL 1995 3F minim .Jl;/\\-l‘lll - I .o-t O I.’histoire est cello do la défloraison d'un ieune homosexuel (évidemment...) do 18 ans, louno pucoau ombarqué dans uno nuit do carnaval dans les bars do Montreal, notamment dans la partio anglophono do la ville. L N 't d ' h t o O \ Tremblay reVIent sur ses premieres amours MONTREAL (L’Express) —- Place Ville—Marie, 45' étage: le restaurant Altitude 737. Une chaleur suffocante regne. Trop de monde dans cet es- pace restreint: tout le jet-set artistique québécois semble s’étre donné rendez-vous. Les medias te’lévisés sont la, en plus d'une nue’e de pho- tographes. Vous avez la l’éve’nement littéraire de l’anne’e en Amérique francophone: le lance- ment du demier roman de Michel Tremblay, La Nui t dos princes charmants. Dire que tout ca commence par une soiree a l’opora... une assion qui romonto a l'ont‘anco do Michel Tremb ay. Mais tout, chez l’auteur quebocois, semble au— tobiographique. De La grosse fcmmo d’d cdte’ est onccinto iusqu'a Un tinge cornu aver dcs (tiles dc tOIo. Iin reference a La Nuit des princes clmmmnts. Joan-Francois Josselin, du Nouvcl Obscnvutcur, ocrit: «On n'avait pas pardonno a co nigaud do Le président du nouveau Lycee trancais de Toronto. M. Laurent Thabault, et I'ambassadeur de France. M. Alfred Seiter~Gailtardtn. avons donc decide d’ou- vrir d’emblee lo secon- daire.» On prévoyait au debut ne croer qu'uno soule Classe, mais co sont tinan mont trois classes (55 em- diants) qui sont ottertos pour la rentre’o. «Nous avons rolové lo déti, et nous ouvrirons une classe supplemen- taire cha ue année, ceci jusqu’au accalaure’at», affirme avoc confiance M. Thabault. «Jeunes gens, il vous taut mainlenant rolrous— ser vos manchos», a lance l’ambassadeur aux iounos presents. Le nouveau Lycoo (77 rue Charles ost, sur le campus do I'Univorsite de Toronto) est une insti- tution privéo qui dis— pense Ie programme sco- airedu ministoro trancais do l’Education, tout on in- sistanl sur l'apprentissage de l’histoire ot do la ge'o- raphie canadiennos. ux dos dix onseignants du Lycée sont tournis par la France. apartirde 199$ par mois‘ *l-0cation base’e sur 36 moisa 11.23’. avoc un dc’pét de 1732 S tsur credit appmuvé) SATmN NB. : les taxes applicahlos, pomiis , assurantcs ct trais administratils soul en sus. II pout ctro notessaire do commander dc I'usine. Louis XV d’avoir vendu lo Canada a l'ennomi horodilairo. Au tond, on avait pout—élre tort. lls onl si bion grandi sans nous, la«bas, do l'autro can" do l’ocean. Uno reuvo? Lisoz Michel Trom- Hay, c'osl Ll no merveill o —- J.F. B. La musique (classique) adoucit les moeurs STOCKTON, Californie (AP) — Ernie et Jeri Foppianos ont trouvé un moyen original pour e‘loigner les indésirables qui r6daient a la nuit tombée autour de leur bar, dans un quartier déshérité de Stockton, a 80 km de San Francis- co. Leurs clients se plaignaient d'étre harcele's et souvent agressés a la sortie de l'établissement par des drogués en quéte d’argent. Au lieu de faire appel a des «gros bras», ils ont installé une sonorisa- tion extérieure qui diffuse a plein volume des musiques de Bach, Beethoven ou Vivaldi... «La premiere nuit ou nous avons tente’ l'expérience, nous avons compté 42 personnes qui trainaient par la. Un par un, puis deux par deux et méme quatre par quatre, ils sont partis les uns apres les autres. En trois quarts d'heure, il n’y avail plus personne», raconte Mme Fop ianos. Les vorsins n’ont pas protesté jusqu’ici et les clients sont aux anges. Mieux, certains ont meme apporte’ quelques disques pour ame’liorer le repertoire. CAISSE POPULAIRE DE TORONTO: A 500 membres, on embauche un démarcheur; a 2000 membres, on ouvre! TORONTO (L’Express) — Le projet de Caisse populaire pour le Grand Toronto se concrétise et pourrait embaucher un «de’marcheur» he’s bientét, soit dés que 500 personnes en seront devenues sociétaires en payant une cotisation do 10$. El Io president du pmiot, Romy Beauregard, a protité du lancomont do la campagno do recrutoment do membres, ioudi demier, pour annon- cor que dos que la Caisso populaire do Toronto aura 2000 membres, ello ouvrira ses portes. Cello nouvelle institution finan- cioro torontoiso — la premiere Caisse dopuis 21) a ns on Ontario — existo mainlonant on lid ucie aupros do Ia Caissoimpul.‘1iro do W illand, qui compte 1000i) societairos ot 80 mil— lions $ d'aclifs, ol qui a acceple do parrainor lo proiet on lui servant do «siege social» provisoire. La Caisso a deia un bureau (qui n’ost cepondant pas encore un guichot) a 'IOronto, au 93 rue St. Clair ouost (tel; 3243128). Dos maintonanl, les clients do la Caisse pouvont ." nogocier hypo thbquos ol assurances, depOts a tormo, RIiIiR, comptos d'opargno, carto do debit ot carlo Visa Dos- jardins. A lravors la Federation dos caissos populairos do I'Ontario, la Caisso populaire do Toronto tail pars tio do la grando famille du Mouvo— mont Dosiardins. Solon M. Boauro yarcl, dos changomonts legislatil's aissonl enlrovoir uno nouvelle pé riodo do prOspoi‘ilo pour cos institu- tions qui reim'ostissonl Line partio do leurs protils dans la communauté. DANS L’EXPRESS V .J On n’a lus les anadiens qu’on avalt ————————PAGE 2 .1 La nouvelle salson de IEO PAGE 4 .J La CIA démoralisée PAGE 5 J LES Mprs cnorsrs PAGE 6 J Le Carmen Flamenco de Gisele Fredette PAGE 7 ii ii i \lll)T()Wl\' SATURN SAAB ISL'ZL' 037 l-glinton Ave l‘. Iomnto 422-1100 I‘rosidrntul‘lnll \t \\\l