Agence Science-Presser - Or donc, disions-nous, les moteurs de recherche sont fabuleux en terme de rapidité, mais fort peu efficaces pour la grande majorité des recherches. Meme les vieux trucs, comme l’utilisation judi- cieuse des ET et des 0U, ont de sérieuses Iimites. Une seule exception : les guillemets. l‘arce que rappelel-vous ce que nous disions ces dernieres semaines. La clei, c'est qu’avant d’entamer une recherche, vous devez SAVOIR CE QUE VOUS CHERCHEZ. Et si vous savez avec precision ce que vous cherchez, vous aurez dans votre téte l’ex— pression precise pour définir cette chose. Par exemple, destruction des dinosaures, plutot que «dinosaure» tout court. Ou «poli- tique scientifi ue du ouverne- merit du Que ec», putot que upolitique». Bien sur, vous pouvez choisir d'inscrire ces mots a la queue leu leu dans la petite fenétre du moteur de recherche. Mais en faisant cela, le moteur risque de vous offrir TOUTES les a es con— tenant L’UN OU L'AU R de ces mots. En revanche, si vous encadrez votre expression (ou votre série de mots), par des guillemets (plu pre- Un consortium d’organismes fr (SUITE DE LA UNE) Ce qui a été retenu par les partici- pants a été un mélange des deux derniers choix. Comme le statu quo est inacceptable et que la pri— vatisation comporte de nombreux dangers comme la perte de con- trole et la perte de finacement pub- lic de Patrimoine canadien et de Queen’s Park. La creation d’un conseil d’administration indé en- dant de WO sera propose 5: F0. Par le meme fait, cela e'vite aussi de devoir se presenter aux séances du CRTC. ll faut souligner que seulement deux francophones (Michel Gingras, directeur general de la Caisse populaire d’Alfred et Lise Marin, une retraitée d’Air Canada qui réside a Timmins) sont presents sur les douze postes du conseil d'administration actuel. En plus, les membres du CA sont nommés sur la base des compé- tences personnelles et non comme représentant redevable de la com- munauté franco-ontarienne. Aussi, les discussions ont porté sur le fait que TFO était souvent percue comme un boulet a la cheville de TV Ontario. La privati- sation de ces deux réseaux n’est plus a l'agenda a court terme du premier ministre Harris, mais selon M. Matte, c’est TFO qui a permis d’e’viter la privatisation des deux chaines de télévision. Toujours selon lui, il est impor- tant de garder Ie budget actuel et que le nouveau TFO ne coute pas plus Cher, si on veut que le projet soit accepte’ par le ouvernement de Mike Harris. Si FO dis arait, cela donnera aussi plus ’argu- ments concrets a nos voisins nationalistes du Quebec. «Méme a la fin, les Franco-Ontariens auront toujours a se battre pour conserver leurs acquis», a avoué M. Matte. Aussi, quelques modeles actuels ont étudié, dont PBS et la chaine Access, situé dans l’ouest canadien. Un participant a laissé entendre a mots couverts que TFO dérangeait beaucoup plus ue TV Ontario, car la portion ranco- phone est beaucoup plus creative et innovatrice, mais également plus revendicatrice en matiere de finances ue son pendant anglo- phone. ll aut souligner que meme si Ie tiers des fonds de I’Office de la telecommunication educative de l’Ontario (OTEO) (l’entité-mere de TFO et de TVO ) doit théori ue- ment aller au réseau francais, i est difficile d'éviter que l’argent change de poches vers la majorité anglophone. Les auditeurs de TFO n'accepteraient pas de regarder autant de productions etrangeres de la BBC que ceux de TVO en re arde présentement. «Le colToque a été une réus» site», selon Lise Routhier- Boudreau, de’léguée de l’AEFO. A LA RADIO CIUT Emc CADER En panenariat avec L'Express at Radio France Internationale cisément, les guillemets anglais, soit ceux qui ressemblent a deux apostro hes verticales) Ie moteur de recgierche va aller vous chercher uniquement les pages contenant la sequence exacte de mots que vous aver. mise entre guillemets. Note sur ceux qui utilisent cles claviers francais : dans certains cas récents, les guillemets anglais sont introuvables, et tout ce que vous avez, ce sont les guillemets francais (« n). Avec un moteur de recherche comme Coogle, peu im orte : iI va comprendre. .ssayons par exemple une recherc e sur la tumeur au cerveau. Avec ces trois mots mis a la queue leu Ieu, Google nous trouve 3200 pages, ce qui est un peu trop pour nos petites capac— ités. Si vous les encadrez entre guillemets, il ne reste plus que 300 pages, ce qui est tout de meme moms angorssant. Videmment, plus votre Semaine du 27 mars au 2 avril 2001 - L’EXPRESS 0 7 MEDTAS Comment chercher (8) Il faut miser sur les mots clefs expression est Iongue et precise, plus vous ave]. des chances de tomber pile sur ce que vous cherchez. A condition, bien sur, au’il n’y ait pas une demi- ouzaine de fagons de definir Ie méme he’nomene : par exemple, faut—il ire tumeur AU cerveau, ou tumeur DU cerveau .7 Et pourquoi pas tumeur cérébrale ? L’idéal, c’est quand vous con- naissez l'expression employée par les 5 'cialistes du domaine, ue ce soit a neurologie ou le hoc ey : vous aurez ainsi plus de chances de tomber pile sur une pa e créée par, justement, un s éciaiste du domaine, donc bien ouillée, bien documentée, et scroisons les doigts— fiable. Ne négligez pas le truc des guillemets. Parce qu’un moteur de recherche peut étre tres trompeur. Si vous tapez tumeur au cerveau sans les guillemets, il est exact qu’il y a de bonnes chances pour qu'il vous sorte en téte des anco-ontariens refuse 1e statu quo pour TFO - t; i Deux participants du CoIquue sur l’avenir de TFO. Alcide Gour de I’ACFO et Lise Routhier-Boudreau de I’AEFO. «II a permis de voir que TFO est une priorité et une ressource essentielle pour la communauté franco-ontarienne». Elle deplore aussi I’absence de la representa— tion de TFO et elle comprend mal la décision de Mme Bassett. «Cela nécessite une mobilisation et un engagement réel de la commu- naute et les Franco-Ontariens ont plus que fait leurs reuves en matiere de Iuttes et e combats. On a qu’a penser a la creation des trois collé es communautaires et des consei s scolaires», a exprimé Mme Routhier-Boudreau. Alcide Cour, president de l’ACFO provinciale, a expliqué en entrevue ue le consensus s’est bien fait. « ous s’entendaient sur le fait que la situation actuelle n'est pas acceptable. Privatiser est tres risque et créer un systeme par— allele entre TFO et TV Ontario est difficile a réaliser». Ce dernier croit gu’une nouvelle entite’ indepen- ante serait Ie meilleur choix. ll a'oute ue le transfert des licences u CR C est tres possible et cite en exemple, le cas de Global CanWest ui a gobé plusieurs stations de I ouest du pays. Aussi, la création d’un nouvel organisme pour la télévision éducative francophone de l’Ontario n’est pas un precedent pour la communauté. «On n’a qu’a penser a La Cité collégale, ar exemple». Les affaires francop o- nes ne sont pas une priorite’ pour Mike Harris, mais les dossiers pro— Fressent sous son regne. ll va fal— oir s’asseoir et négocier avec TVO, TFO et le gouvernement provin— cial. Aussi, un appui du gouverne- ment fédéral est necessaire dans le dossier. II faut que le gouverne- ment fédéral affirme l’importance de la francophonie hors-Québec. M. Cour deplore é alement le fait que le réseau qué écois TVA soit devenu national, mais TFO s’est vu refuser l’acces au Quebec. TVA recoit des redevances d’ici, mais aller chercher des‘ redevances est percu comme trop en deman- der. TFO n’a pas les movens de "diffuser gratuitement son signal comme les cfiblodistributeurs, tel Vidéotron, le demandant, car ’l'IiO doit payer ses redevances [i ses artisans par ra port [1 In grandeur de son signal. ‘ pendant, il insiste sur le fait que TFO doit roster sous controle ontarien, mais elle peut co-procluire et meme exporter son produit clans les autres commie nautés hors-Quebec. Cela ajouterait une nouvelle clmine francophone clans res milieux et permettrait d'niouter des londs sup )lémentaires dans les coifres de FO, «On ne doit PAS juste se regarder le nombril. ll taut penser aux nouvelles technologies, nu développement pancanadien et aussi a exporter notre signal, mais sans devenir une chaine d'interets nationaux». ll dit vouloir des partenariats, mais C(‘lIX-(I signi- fieraient t u’on ne serait plus seul Li diriger lelmteau. l’ar ailleurs, il a ete permis d’apprendre que des possibilites d'entente avec des gens de Terre~ Neuve se {assent bientot un pen [1 la facon des ententes presentes avec Ie Nouveau-Brunswick Present lors du colloque, le senateur Gauthier, a exprinie so vision d’une television nationale pour unir le pays. «Le contenu a Vehiculer est important, mais qu'en t-il du messager?» ll ajouie que CI’AC est un bel exemple de collaboration des difierents cablodistributeurs. II iuge que I'avenir de TFO est un beau proiet. ll s’agit d’une question de volonte pour realiser ce projet. Aussi, il propose le sous-titmge des emiss sions pour etendre aux anglov hones, zillophones et personnes handicapees. ll vn lalloir ( ue 'l‘liti se démarque dans la vrtmdle niasse des chaines tt‘lex'isue les. [in dernier lieu, les delegues se sont entendus pour impliquer tions, souvenirs au cours d’une conversation en toule liberté, ou les paroles des uns et des autres e\priment des idées a murir, ii retlechir, :1 s'enthousitismer, (i w tonner. Notre collaboratrice, Francine lnlielle et ses La radio ciut 89,5 fm «pot pourri» Le dimanche de 11h 5 13h www.ciut.fm Le dimanche ler avril de 11h 5 13h rendez-vous (18 [CHI ntem PS. Pre’visions Enjeux: La violence a l’école Musique et elements sonores, les Flages tropicaies et les chansons trancaises....un vmi irnnch musical Mixage et realisation: capitdine de V ~ra et Iiric (otter Avec Ie soutien de la Commission europeenne, Direction générale «education et culture», Annee europeenne des langues‘ 2001, Ie minisiere lIt‘ 1.) Culture et de la communication, Ministere (II‘\ affaires étran eres~France et Les Arts et les Autres-li Le francais comme on I‘aime Notre invite du dimanche: Vicky Sommet, animatrice et productrice a RFI «Paroles croise’es» Echanges et tolérance I‘ Prod uctions—TVS Nous attendons vos calendriers prewsionnels it l'adresse suivante: CIUT I’ol Pnurri, 11014 Park Vista I'smies. Iiimnin .irtivement la population, les dif- t'erents groupes et les medias dans le projet. Un documents expli- quant les chanz?ements demandés sera soumis Ii a communauté en general dans moins d’un mois et L'ORGANISMIE TORONTOIS voué AU DEVELOPPiMENT DES AFFAIRES PAR LE aéSEAUTAcE DE ses MEMBRES FRANCOPHONES ET Famcomttes cdoleobalserveJDt www.cerclexorontomnn une version finale sera produite sur papier et Internet d ici trois mois. Apres ca, des discussions et du lobbying aupres des différents partis politiques ou administratifs seront a prévoir dans les mois A CERCLE CANADIEN I v 3000 sites trouvés, ceux qui conti- ennent les mots tumeur ET cerveau. Ce qui peut dormer l'illu— sion que vous avez dé'a trouvé ce que vous cherchiez. ais en réal— ité, il peut également s’agir d’un site sur les tumeurs en énéral, incluant celle du cerveau. d’un site medical faisant le tour d’une foule de maladies, mais pas neces— sairement celle que vous cherchez. En obtenant plutot en téte de liste les sites qui contiennent l’expres- sion EXACTE que vous cherchez, vous augmentez vos chances de trapper la cible. t quand on fait une recherche sur Internet, c’est le mieux u’on guisse es érer : AUGME TER ES CHA CES de trapper Ia cible. Ce ne sera jamais comme dans une bibliotheque, ou vous pouvez vous diriger avec précision vers LE livre, ou mieux encore, vers l'é- tagere répondant spécifiquement a vos besoins. Sur lntemet, on peut s’a procher au maximum de la cib , mais si on ne met as toutes les chances de son cote, on eut perd re énormément de temps )uste a s‘en approcher. Une autre facon de s’approcher de la cible, c'est de bien choisir son outil. On s’en reparle la semaine prochaine. Questions .7 Adressez-les £1 redaction@sciencepresse.qc.ca suivants d’ici deux ans. Un nom temporaire a été proposé pour le nouveau groupe res onsable. Il s’agit des Amis de T O et il est a ne as confondre avec Friends of TVS. Pfofitez . . d d affinité deg” ’ {Labo ebd ~ EXP’GSS de 7231511” LE CERCLE CANADIEN A LE PLAlSIR DE VOUS CONVIER A SON DEJEUNER Monsieur Gerald S. Pannetzon (Jt‘frlnI'EleUdllon et de'veloppe- ineni rorporatif Brunrk Gold Corporation Ailocution de le mardi 24 avril 2001 HOTEL ROYAL YORK, Salle Imperial 100, rue Front Quest de11 h45313h30/Apéroa11h45 Organisme communautaire : le Cercle de I’Amitie Commanditaire de la table d'honneur : a confirmer « L'or : une monnaie sans frontiére » Monsieur Gérald S. Panneton Gérant Evaluation 9! déve/oppement corporat/f Barr/ck Gold Corporation Aucun autre metal ne peut prétendre jouer autant de roles diversities que l'or : du bijou hautement contemplé au metal maintenant indispensable en technologie, a sa position pnvilégiée de premiere monnaie d'échange mondial, I'or confere un statut sacral a travers Ie monde et deviant Ie recours monétaire dans toute crise économique! L‘or est unique par ses caracténstiques physiques et chim- iques, mais avant tout, il est adore depuis des millénaires et jamais il ne connaitra one fin de car- riere! Pour I’annee 2000, la production mondiale d'or s'est établie approximativement a 2 700 tonnes alors que la demande toujours croissante a atteint presque les 3 600 tonnes. Monsieur Panneton nous expliquera d'une part le lien entre la nature unique de I’or, ses depots et les forts investissements financiers et humains nécessaires a la production aurif‘ere de haute qualité. Enfin, il exposera les enjeux et les défis auxquels doit taire face l’mdustn’e miniere de l'or et sa place dans l’économie mondiale. Monsieur Gerald Panneton détient un baccalauréat en geologic de l'Université de Montréal et une maitrise en géologie de l'Université McGill. Au cours des vingt demr‘eres années, il a parcouru Ie Canada et plusieurs autres parties du monde, incluant entre autres, Ia Sibérie, l'Afnque de l'Ouest et du Sud, les Amériques, l'Australie et I’Europe, avec la responsabilité d'évaluer le potentiel des gisements auriféres. Depuis son arrivée a Toronto en 1998, monsieur Panneton a contnbué large— ment 3 I’augmentation des reserves auriferes de son employeur en Tanzanie avec la mine Bulyanhutu et plus récemment, Ila joue un rote important dans l'acquisition de la compagnie junior ”Pangea Goldfields" de Toronto au coat de 204 millions $CN. Monsieur Panneton est a l’emploi de Barrick Gold Corporation depuis 1993, MonSIeur Pierre Granger, animareur de (em/$5100 dermal/re e! (fa/fares pubquues Panorama d9 7/0 de TVOnIa/Io sera maitre de ce‘remome PARIfNAIRfS L MEDIAS OFFICIELS Radio-Canada Télévision L'EXPRESS awn-custom casra f‘ u»- f ' leclerc ’ ’ L t O dew w 360 ROGERS~ ""“M I; we bum Mai NK )5 (UMMANDITAIRES 6.; RONA m Banque de Montreal Bell Mobilité Heenan Blaikie fli m Banque de Montreal Rommans Benson A Hedges Inc noranda IIIl F Inanciére Manuvie WILLIAM M. MERCER o s... m. du Canada GROUPE F INANCOE R BANOUE ROVALE HEURE ET DATE DE TOMBEE DES RESERVATIONS : LE 23 AVRIL 2001 A MIDI TéIéphone : 416-243-0662 ' Télécopieur : 416-243-9655 N1 m c007 DEJEUNER : . E'Jmiwsi A M mi V‘ui Conr PosTAl Convive fl , Ii. ( immii Cerrle canadien do Toronto w Ill! lHillI ouest bureau 011677} Toronto (Ontario) M51 1E6 '1 (.omptant '1 Cheque Convive coUT D'ADHESION : société (minimum 3 membres) 170 S w e, membres 34 3 non membres 40 3 W ewe, individu 60 S a» Convive Convive ,,_, No (It‘ tarte VISA StUtEMENI MUDALITE DE RESERVATION VEUILLEZ CONFIRMER PAR CARTE DE CREDIT OU PAR (HEQUI UNE RESERVATION (OU ANNULATION) EST CONSIDEREE COMM! VALIDE $l ELLE EST FAITE AU Moms 24 HEURES AVANT LE DUEUNER D'AFFAIRES. Signature res nultm- lNumNu m» IVS H ”tosses/l M414 3M8. Poipnm'rifilslradium”: I‘m; (41b) 75941014 m; 39.5079 NOUS SERONS DANS [OBLIGATION DE VOUS FACTURER LE COUT DU 'I roisriurnalistes venus de nos rédactions a travers le DEIEUNER MUTE D'ANNULATION AVANT LES 24 HEURES. mom 0 et un invite échangent points de vue, émo~ ‘1 Repas Végétanen .._,,... . - . ~ , /.