Laurence [)u pin

Vendredi dernier (15 levrier) a eu lieu le Bal de la Saint—Valentin de la (‘hambre de commerce trancaise de 'loronto. A cette ouasion les personnes presentes ont pu participer a un encan silencieux dont une partie des fonds sera rmersée au lycee francais.

t etto soiieo .1 etc l’t‘lhltlt‘ possible glulu‘ .1 duets sponsors .‘lll lnmti' li‘ Roi/.1] \li'im’nn, \i'oposl. liuwnitiigc, t Hinton llnl'lts [cum tirmi [hands at IlllIl;lt, (liimi'l ct (iii! .11‘ Kai-Li; Quatre \‘ingt sei/e wrsonnes ont assiste .iu bal sous legide du t onsul (veneral do ll'nlllk e, M Hugues (.oisbault la soiree deroulee dans une amhiance chaleui‘euse et dans‘ la honne humeut generale

les produits proposes pour lent'an \llt‘llt ieu\ etaient dis Wost‘s sui des tables 11L'\.llll la sal}le do rec option 1 es personnes inte It’\\t‘t'\ pointnent .nnsi inscrire

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Semaine du 19 au 25 février 2002 — l.’EXl’RESS . 5

GNTARK)

Le Bal de la Saint-Valentin de la chambre de commerce francaise

L’encan silencieux s‘est poursuivi une bonne partie de la soirée.

Photo tziureiirm Dupin

pagne pouvaient acheter un ma},-

leur nom el le montant propose sur une t‘euille deposee devant. l.e montant total des ol‘riets mis a I'encan se montait a 40 000 ‘5,

le choi\ etait \'aste. les adeptes de hon \‘in et de chain

num de champagne l’iper lleidsieclx genereusement donne par Miinmm on 3 bouteilles de Chateau Mouton Baron l’hilippe de 1087 avec une lithographie de

Hans lirni donnes par les Z'ms I’lulippc l)imdurimd. l’our garder le cl‘iampagne au trais on pouvait acheter un seau a cham iagne en argent grace a l’in'i/Itm C iristofle.

De nombreux certificats cadeaux etaient utterts a l’encan sileneieux. ('eux-ci ont été donnes par diverses compagnies comme Alcx I‘uriiis/Agmpur, Iiicmii PNHS, l.c Scli’c! Bistro, in lilimirie cliiimplimi, Millignoii 0H 'l‘mttorm Alizc. Les compagnies de partum etaient, elles aussi, representees car on trouvait des paniers de Christian Dior. I'Otcitiim' en l’mm'm 1', Roger (iii/1c! ou Gn'cncliu. (es messieurs pouvaient avoir 1a chance d'tiftrir a leur femme la hague des trois ors de chez Cartier et, pour les sportits, une veste de tennis et une raquette. Le choix de taire cet encan silencieux revient a M. Jacques Reiss, president de l’UlL; (anada et responsable des evenements de la Chambre de commerce.

L'encan silencieux était ouvert iusque vers 22 h 30 et a ete suivi mr un encan, mene par Mi i\letko\' de l'A(‘AN, dans la salle de reception dont une montre (iiicclii pour la modeste somme de

de danse.

950 3;. Celui—ci a ete suivi mr une allocution de Madame Legiancois. Elle a remercie la Chambre de commerce et toutes les personnes présentes et a glisse quelques mots au sujet de l’expansion de lycee francais. Les nouveaux locaux pourront accueillir iusqu’a ~100eleves, 275 sont prevus‘ pour la rentree 2002 Quelques 7etits travaux sont necessaires alin de pouvoir accueillir les eleves dans es meilleures conditions. Le Bal a ensuite commence avec un groupe de musiciens iouant des musiques

Apros le repas et I’encan les personnes présentes on! envahi Ia piste

V

’4‘. l

Photo Laurence Dupin

des annees ht) La soiree s'est achevee vers une heure du matin. Les personnes ayant participe a l'encan silencieux pouvait recuperer leur bien en partant. lit chaque personne presente a eu de petits presents otterts par Rod/er et .Ucritum' en Pl'Ui't'Ht‘i’ sans oublier une boite de truttes au chocolat de Claude l’nstcl. (.‘hacun etait enchante de sa soiree. ("etait en eftet uno soiree de detente et de bonne humeur et la Chambre de commerce peut se flatter de cette soiree particulierement reussie,

L’Entente Canada-communauté-Ontario

Mercredi 13 fevrier a eu lieue la rencontre organisee, a Toronto, par le Comité de direction de I’Entente Canada-communauté-Ontario. (Telle-ci a\ ait pour but de consul- ter les francopliones sur la planiti— cation strategique communautaire de I’Ontario francais en voie d’élaboration.

( inq menihits du comite etaient presents. lean tomtois (president du comite), Marielle Beauheu

Une quarantaine de personnes étaient présentes a la rencontre.

(directrixe generale), Ieanne Sabourin lresponsahle du secteur art et culture), (ierard Levesques tsecteur iurtdique) et Marius Uuellette (secteur dos communica- tions). Ils ont presente le plan this on place et qui sera presente au torun‘. provincial en a\'ri| prochain, Lne quarantaine de personnes etaient presentes dont M. Francois tinerin, president de I'ACFU-

'l‘oronto M. Martin K K.ihu}xi, vice- president de l’AC'lO et Madame

Renaud, directrice generale du (entire d’acces a l'apprentissage de Barrie.

l e comite propose la \ ision suiv ante do l'thitario lrancais: 'Untario trancais est uni clans sa diVersite, solidaire dans sos actions et engage collm‘tivement atin d'as- surer son mieuxsetre et celui de la trancophonie dans son ensemble» Lotte \‘ision est associee a quatre \aleurs primordiales: l'integrite, l'elitraldo, l'oquito ot l'e\collonce.

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Les mernbres de la communauté Wresents lors de la reunion du 13 ievrier sont en accord avec ces deux points.

Le comite presente aussi stx axes de developpement et objectifs generaux. Le firemier est le—

anouissement de la vie et de la langue trancaise en Ontario en pro- mouvant et valorisant la culture et la langue trancaises ainsi qu'en mettant en valeur les réalisations de l'()ntario francophone, Le deux— ieme axe porte sur l'application de la charte des droits et des libertes pour obtenir la reconnaissance offi- cielle du fait francais et assurer la mise en oeuvre des obli'ations iuridiques et politiques des roits.

Le troisieme axe conceme l’acces universel, en francais, aux services et programmes offerts aux dit- t‘érents niveaux de vouvemement. ("est-a—dire consoli er les acquis, améliorer la mise en place et le develuppement des sen'ices et pro- grammes de qualité en francais et ameliorer l'acces a ceux qui sont existants. Le quatn'eme point porte sur la presence des organismes francophones sur les scenes provinv ciales, nationales et internationales 1e but du comite est d’augmenter cette presence et de promouvoir le savoir Jain: francophone.

lje cin uieme axe a pour but de favoriser ‘la concertation n’gionale, provinciale et des secteurs ainsi que d'assurer l'enga vement du mouve— ment associatit e l'Untario trancais envers la vision de la cominunaute. L/e sixieme et demier point est le développement communautaire et organisationnel a tous les niveaux. ("est—a—dire assurer un reseau de communication efticace, promou— voir l'intervention basee sur les reels besoins et les ressources clu milieu, taciliter le ClCYt‘ltlPPL‘lllL‘Ill des organismes et surtout sensibilis- er les instances tederales, provin- ciales et locales aux besoins de l'Ontario trancais

Les communautes consultees iusque-la ont ete tres receptives selon M. L'omtois. D'autres rencon~ tres ont en effet eu lieues a Hawkesbury, Sudbury, Timmins, Cornwall...

L'entente Canada—communaute— Onatrioexiste depuis 10%. La ire— iniere entente s'etalait de 1 6 a 1999. En 1997/1998 au forum de Sudbury, un comite de travail a ete cree. l’uis en novembre 1998, lors d'une rencontre organisee par l’ACFO, un comite de negociation a ete mis en place. En juin 2000, lors de la signature de l'ententevcadre avec l’atrimoine canadien, ce

comite a ete reconduit

Cette entente s’etend sur une periode de 5 ans qui se termine en 2004 dans laquelle est prevue une enveloppe budgetaire de 4 425 0005 par annee pour tinancer la pro- grammation et les prolets des organismes de la communauté trancophone

Selon l’entente, les interets de la communaute trancophone seront geres par l'entreinise d'un <.oiiiite de lo memhres representant divers secteurs Coin-cl sont an nombre de sei/e les aines et retraites, les temmes, la ieunesse, les minorites raciales et ethnoculturelles, l'e— conomie, les municipalites, la sante, les ‘soins speciaux, la communica- tion, les arts et la culture, les centres culturels et Lonimunautaires, les cooiniratives, l'education, la justice, la politique et les ACFU regionales. (e comite de direction a pour role de définir les oriqughel’ls de developpement et les p lies ainsi «quelaborer une Viii- swervenir qui saura rallier les aspirations et les energies de tous... mettre en oeuvre les exigences de I'entente concer- nant les modes de gestion.» Tout ca atin do mieux negocier la prochaine entente et iustifier une demande de fonds plus consequente que la precedente. (-Laurence Dupin)

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