r ad.'i.u1fl£1:-mu32_x§ 9 - ' Poo: room to: occauons’. ‘ u. Dispomhles I i 2 i::.:fi'.::“‘~“ . a n 1 WWW. o 0' A- ., t. — 5 I .._t - 3?.‘37 it . 3‘3?! a? 375 -- CORTEL (Fl’lt‘%\l \ iii 'lURON'l‘U. 29' ANNlili. NUMII'LRO 7 ° l)l' 24 l‘liiVRlliR All I'" MARS 2004 0 33 ° \N“W.lCXpl'C\.\.lU \\.( \\l) L Awenda : plages et sentiers a volonté Dansez 1e mois de ’histoire des Noirs airtime Magdaline Boutros A chaque été, le festival Bana y' Africa attire au , _ _,_.,_--v-—'—-"”"”‘ " _..,_ ‘ , Nathan Phillip Square entre 5 000 et 7 000 personnes , G TUBOR n I ‘ venues chanter et danser sous les rythmes de _la . T a. musique africaine. Cette année, pour la premiere tors, - ‘1__,_.>..._—————-"' ~ _. —-j.—_—— _. . . les organisateurs ont décidé de tenir un événement similaire durant le mois de l’histoire des Noirs. Deux groupes de musique, une troupe de danse et un DJ seront résents, le 28 février prochain, pour nous sor- tir de l; torpeur de l’hiver et nous plunger dans la chaleur africaine. «“1 le groupe Star lite “and. protenant de la Repuhlique democratique du Congo, animera une partie de la soiree en interpretant des thhmes tires dii Soiikoiis et de la Runiha, deu\ st\les‘ de inusitiue popiilaires dii Congo. l,'enseinlile appele (.ioupe senegalais traditionnel sera egalenient c e la partie a\'ec ses lain—tam pour nous iaire decom'rir la musique du Senegal. le sWectacle ne serait pas complet sans quelques dehanchenients ti'piquement .ifricains. ("est te que notis ol'trira la troupe de danse Nourel l\pose, en e\plorant des danses meconniies du continent atrit ain, pro\ enant nmioritairenwnt de M thiopie, de l'l'irythree, du L ongo, de l'l€;:,ypte. l‘infin l)l l'rank sera present Les charmes dii l‘arc provincial \wenda sont nom- breii\ et la plupart des ainoureu\ de la nature i lrUll‘ veront de quoi se inettre sous la dent, notanimeiit les amateurs L t' Tillltltillntl‘t‘. _' ONTARIO-FRANGAIS La petite enfance au centre des préoccupations -page H le goin'erneinent tederal n’est pas iiisensihle au dossier de la ietite enfance et promet d'aider les provinces a developper des ser\ ices de garderie \‘iables, a fait \'aloir la nourelle ininis‘tre du lJeteloppement social, l in l3rulla. - page 2 MUSIQUE Wilfred répond aux détracteilrs meLéIé-réalité t De passage a Toronto, Wilfred I‘eBouthiIlier, ‘ ‘ gagnant de la premiere edition de Sim ’lulitemu' au Quebec, s’est arrete dans les bili‘t‘dtl\ de I I \pn'ss pour nous accorder une entrei'ue. was“ ECONOMIE Les horizons plus ou moins encourageants de 2004 Notre chroniqueur economiqiie nous in re s‘es previsions pour l'annee a Venir —pageii ciNEMA Un papillon apporte le réve a un malade du cancer Le film Le Pupil/en Blew est un hymne a la \'ie qui met en scene le combat d'un petit garcon atteint d'un cancer et pour qui l'insecte longiligne, ses ailes delicates, sa lugitive presence, representent le re\ e, l'espoir, m asion. wages DANSE Une chorégraphie immortalisée sur film Une chorégraphie, c'est iin spectacle en changement qui se transforme dans le temps au cours des re resentations devant to public, La piece Limud les .‘(l'llllil'lllt‘l't’s s'erizii/i’ut qu'avait creee Serge Bennathan en IWZ sera presentee pour la premiere {ois‘ en film. — page 14 Le projet de Frank Gehry: Les multiples aspects _ du contexte |.e proiet de I rank 0. (fieliry pour le Musee des heath-arts de l'( )iitario est tres dillerent de ce a mi l'arcliiteite nous .i\.iit habitues. Rien de ces assemblages .ileatoires ni de ces tonnes tor- dues et ionipriniees comiiie si elles etaient le pour faire \ ihrer l'aiiclience at: son du hip hop. le t'esti\al Bana i" Atrici est organise par l'orga‘ iiisine a hut non Iucratit x\trique nou\'elle musique. l 'organisme a ete tonde en l‘I‘hl par Arthur longo, con~ golais d'origine, qiii assume la presidence et la produi- lion des etenernents. 8a mission est d’accroitre la visibilité des arts et de la culture africaine dans la region de 'l'oronto, ainsi que de upei‘enniser la ret‘lexion sur la culture, de \‘ul 'ariser et instruments traditionne s de la de conserrer les . musique et l'art .itricain au Canada». ' ' V ”W TSUTTETZN'FA'CEQ) "h“; Le groupe Star Fivi 333g (phofi glib-9”» aims; ue Ia trou de danse Nouvel Expose Satan du has) ani- meront la ' I V'MM- 33‘9”“ . -. "‘ * ’~" Contradictions au sein de la Commission de l’immigration : Formulaires anglophones pour demandeurs d’asile francophones ~~Mvw- syW. . .» Le forum sur la situation des rétugiés s‘est déroulé ieudi le 19 tévrier au Centre Lawrence pour les arts. De gauche a droite : Ia présentatrice TV de Chin, modératrice du débat, Jean-Guy Fleury, president du CIRS et Stephen Gallager, auteur d'un rapport sur la situation des réfugiés au Canada. Mafia Dolecki Quand Jacques Roy aide des demandeurs d'asile ui viennent de pays francopho- nes d’A rique a obtenir une audience en franqais, on lui envoie un formulaire 23 remplir en anglais. Iacques Roy est le directeur de la clinique iiiridique francophone du (entre medico- social communautaire (CMSC) de 'loronto. l| accompagne dans leur demarche L‘lt‘s demandeurs d'asile qui souhaitent acceder au statut de retugie en territoire canadien. ll commence a etre exaspere par les prai thiies de la (‘ommission de I'imniigration 3t dii statut de ret'ugie ((‘ISRL Ieiidi 19 tevrier demier, on forum siir la l'leuri', ainsi que d'autres invites \‘enus s'exprimer siii‘ t e suiet contrm ersei l)e\’ant un auditoire compose de :illtl personnes, M. Roy s'est rm? et a lait \aloir son point de \‘ue. «Ie parle a\ ec la L ISR en trancais, done au moins i| \‘ a des services hilingues. L ependant, qiiand i'explique que inon Lllt'lll est trancoplione et qii'on \ eut que la (orrespoiidante soit en trancais. on me «lit: "ca n'mistt' pas en trancais" alors qu'en has de la page t'est inarque : disponihle eii trancnis-g a souligne Nl. Rt“, :\ la sortie de la conterente, |e directeur de la (lllilt iie iiiridiqiie dii ( MSL a expliiiue qu'ii arait tinaleineiit ohtenu gain de iause dans cette premiere attaire. l)eii\ seniaines plus tard, la torrespondance en iraneais Iiii a ete tinalenieiit eii\o\‘ee. l,a \ It toire a «ependant ete de t ourte duree ~l)ans un autre dossier concernant iin . . . i ‘ ' . '. ". ‘ . , , . , resultat de collisions. - l age 5 situation d‘fi r1 fugus “‘1 Canada m“”“ deniandeur d .isile francophone, on ma hlait le president de la ( ISR, lean—(an ”mm. “mm“; l.i corresi‘vondantc en t. . ' . - ‘ ' 7 i 135%? iiWi'Wlfl’g‘fiwmfivafi w r, ., i I Photo : MD. anglais. le ne comprends pas, je ne coin- prends pasn, s'est exclame lacques Roy, vis- ihleinent choc iie. ("est |e demandeur d'asilequi a le c roit dedecider de la langue de ctiniinunication, ca tait partie de la Loi sur les Iangues olticielles de 1999», a-t-il tait valoir. Line autre inesure Inquiete le directeur de la clinique juridiqiie du CMSLC La CIRS a decide que i‘ertalnes audiences de deter- mination dii statut de refugie allaient desormais se derouler mr \ ideix‘onterence et non plus de \‘isu. . 1. Roy attirme que lous les tranmphones devront se plier a cette iiomelle regle. ules anglophones auroiit des audiences par \‘ideix‘onterence mais il lieneticieront tou'iours d'audiences en personne Moi, on in'a appele au mois de decenilire pour me dire de me depecher sl i'.i\ais des rewiiditateurs qui avaient deia une date de pre\ ue parce que desor— niais, ll ii'i aurait plus d'audience en wr— sonne (SULTE EN PAC 2) Naissance de la réceptionniste virtuelle PITTSBURGH (AP) - Elle n‘est peut-étre pas payée, mais la nou- velle emplo ée de l'université Carnegie Me ion, a Pittsburgh, est une réceptionniste typique: elle répond au téléphone, vous dirige sur le campus et raconte méme des potins sur son patron. «Valerie» est la premiere reception- niste virtuelle ayant une personnal- ité. Cette «roboceptionniste» blon— de parle a ses interlocuteurs de son patron, de son psychiatre et de son réve de devenir star. «Nous voulions qu'elle ait une personnalité de perdante, des diffi— cultes a s'intégrer dans le monde cles humains», a explique Kevin Snipes, étudiant en écriture drama— tique ayant participé a la creation du personnage de Valerie. «Apres une certaine période dans son nou- veau travail, elle devient grincheu- se. Mais‘ elle -ut egalement Etre charmante», a firme-t—il. Le visage animé de Valerie apparait sur un écran d‘ordinateur pose sur un mannequin vetu d‘un tailleur, dans le hall de l'universite. Equipée d'un detecteur de motive- merits, elle accueille chaque \‘isi— teur. Ce demier n'a plus qu'a taper sa question sur un clavier. Elle se charge ensuite de Ie diriger sur le campus ou de le renseigner sur le temps. Les larmes du passé fécondent l’avenir. - Alfred de Musset 7 71648 78684 6 we ' ., .» a, we» ..