Somalno du 21 cu 27 septembre 2004 - l'EXPltESS O 3
Consultations communautaires
Gare aux lausses notes (suite)
1 Lawn» [’lil’llt’ [(7 suite ilu forte ii'Ldili/ l iikiiim. M. l iikmm ri‘iigit ii in: forum qui i'eiiiertiiil en omse certains .ispecls dim rapport poi'ttml stir l'i‘tii- lilissemwit ties nouveaux immigrants. preseiite lors de consultations com- mimiitiiires qui ont eu lieu [e 13 [iii/let di'rmer.
Originaire du Manitoba, Ronald Bisson s'est etabli a Ottawa d’ou il a bati une carriere et une notoriete pendant plusieurs annees. C’est cer- tainement a la lecture de sa teuille de route exceptionnelle et en raison de ses competences eprouvees que Citoyennete et immigration Canada avait retenu ses services au terme d'un concours ouvert le 5 juin 2003. ll recoit le mandat d'analvser, a titre de consultant les Pistcs d'm'i’iiir pour I Ontario proposees par le Comité directeur, de retenir 1e conce t le plus prometteur et de le \'3 ider aupres de la communauté avant qu'il ne soit transformé en projet concret «financable» par les giro- grammes gouvernementaux. ’est exactement ce qu'il a fait.
Le lundi lb fevrier 2004, le con- sultant s'est rendu a Toronto, pour presenter le fruit de ses recherches et retléxions, dans LLn document de discussion intitule Cadre conceptuel. Etoblissemmt d'im consortium appu- imnt I'étizhlissmnenl economique des personnes immim'mites et rr‘fiigiéc’s do [auteur traiioiise [1 Toronto. Encore la, on ne peul lui reprocher de n’avoir rencontre qu'une poignee de re— presentants d’organismes pour des raisons deja enoncees. lci egalement, la yrogne des absents est com- prehensible.
La discussion qui a echaude la session du 16 fe\'rier a poussé M. Bisson a retoucher son document en tonction des suggestions des uns et des autres. C 'est la nouvelle mou— ture du meme document qu'il est venu presenter a la communauté le 12 iiiil it passe.
De maniere tout a fait informelle, nous avions constitue une liste d'en- voi de messages, a l’occasion des renContres de suivi qui ont eu lieu quelques seinaines auparavant, suite aux consultations sur la nou- velle structure de gouvemance de la trancophonie ontarienne. C ette liste a contribue a joindre plusieurs per- sonnes qui ont ainsi eu l’opportu- nite de mrticiper activement a cette partie clu processus. Jacques Toure est l’une de ces chanseuses person- 1165.
Dans son rapport ui, au demeu- rant, est destine a itoyennete et Immigration Canada, Ronald Bisson declare «qu'il est nécessaire d'implanter des modeles d’intégra- tion qui sont a la fois innovateurs et adaptes aux realites des immi Trants d'auiourd'hui». ll aioute qu’i «y a peu de resultats concrets en matiere d’integration economi ue, ue ce soit au niveau de l’emp oyabi ité ou de l’entrepreneuriat. En general, trop de programmes de formation et d'insertion ne tiennent pas compte du niveau d'education et des acquis des immigrants».
Fort de ce constat, M. Bisson sug- gere la creation d’un consortium visant l’etablissement economique a long terme des personnes immi- grantes et refugiees cle langue rancaise a Toronto. La gouvemance de ce levier, selon le consultant, doit se prevaloir d’une preponderance de pouvoir a ces personnes et d'une participation active de la commu— naute d'accueil.
D'ou la proposition d’un conseil d’administration comprenant trois organismes, qu’il appelle «des acteurs cles» en l’occurrence: le College Boréal, 1e Regroupement de
developpement economique et d'employabilite (RDEE) et les Caisses opulaires qui appor—
teraient a a structure leur crédibilité lace aux bailleurs de fonds et quatie autres organismes repre’sentant la communauté ethnoculturelle et raciale qui devraient peser, par leur nombre, sur toute décision et toute orientation imprégnée a la nouvelle structure. A la reunion du 12 juillet, re resentants des organismes et oculturels, en majorité, se sont inquietes du fait que le consultant n’ait pas inseré, clans son ra port, les différentes initiatives deja en cours dans la communauté, avant
M./Mme
de proposer la creation d’un nouvel organisme de gestion de leurs intéréts.
C'est pour corriger cette lacune ciu’une motion a ete pmposee afin L e constater d’abord l aspect incom- plet du rapport Bisson et ensuite, d'assi ner a son format actuel un caractere provisoire et non définitif. La motion a été votée. Le depOt du rapport a donc été remis a plus tard pour dormer le temps a l’auteur de e complementer avec les informa- tions in ees importantes par l'assis- tance. I ne s’a 't pas, a mon sens, d'un rejet systematique comme le declare M. Touré dans son texte. C ’est un manque de consideration et de respect a l‘égard d’un travail intellectuel.
L’inte’ressé a recu les remar ues dans un esprit olympique. l a accepté de revoir son rapport et de revenir devant une communauté plus mobilisée et lus en alerte des enieux en cours. rendez-vous a etéans ur novembre prochain.
erniene fausse note de M. Touré est relative au com ortement des bailleurs de fonds. « ’est plutot a ui arrivera a amadouer ces bai eurs de fonds, qui peut—étre pour se débarrasser des nequérants, donnent, semble—t-il, sans tro regarder. Et sans obligation de nésu - tai», a-t-il écrit dam son article.
Cette declaration est, a mon avis, insultante a l’égard des hommes et des femmes qui s'attelent ar leur imagination, par leurs e forts et leurs sacrifices, a trouver des idées originales et compétitives pour repondre aux besoins de la commu- naute.
Elle est d’autant plus diffa— matoire a l'egard de ceux et celles, qui, au vu du bien-fondé des pro )- sitions soumises, décident d ac— corder les moyens financiers a ceux et celles qui le méritent.
C ette attitude indique clairement que l’auteur n’a iamais travaille sur un projet eprouvé par les lignes directrices des programmes afférant et par la rigueur des agent(e)s ui les administrent. On comprend, es lors, qu’il ait une vision aussi sim— pliste et aussi erronée du processus d’attribution des subventions.
Les observateurs de la gande
communaute ethnoculturelle fran—
cophone de Toronto sont unanimes sur un seul point: toutes les tenta— tives d’organisation inteme de cette communauté ont, jusqu'a present, échoué. Certains affirment auda- cieusement que tout effort d’or ani~ sation s’accom agne souvent, ’une forme d’auto— a elation de la com- munauté. Résu tat: les initiatives ’rissent, le leadership inteme s’af— Faciblit et la pauvreté persiste a la faveur des querelles intestines.
La nouvelle approche devrait se fonder sur les trois axes suivants: la prise de conscience des enjeux de la communauté ethnoculturelle versus ceux de la communauté francopho- ne dans son inté 'té et dans sa diversité; l’autocritique, afin de tirer des lecons des experiences négav tives; et enfin, une determination a former un front commun face aux défis actuels et futurs.
Car, si mi peuple - une commu-
naute’ - ne prend pas son destin en =
main, dit un proverbe, personne ne 1e fera a sa place. C ’est seulement en tant que masse critique que nous
l l
pourrons dine haut et fort que la
communauté ethnoculturelle n’a plus besoin des études uiviennent renforcer la notoriéte de leurs auteurs, mais plutét des moyens pour améliorer ses conditions d'existence et se développer. C ’est ce quiaété ex riméala reunion du 12 juillet au etro Hall.
Sans une veritable volonté de con ue’rir les moyens de notre déve oppement, nous resterons des «éternels nouveaux arrivants».
Mme Jacqueline Jean Baptiste avait .
soulevé l’émoi a la consultation de . l’ACFO en se demandant a haute 1
voix: «apres tiente ans ici, quand est-ce je passerai dans le cam7ps de ceux qui accueillent les autres. »
La prise de conscience des enjeux r artici ation, .
communautaires, la l’engagement et la so idarite cons-
tituent l’essentiel de cette nouvelle .
ap roche qui s’impose aux ethno- cu turels s’ils veulent contribuer au develop ‘ment et a l’épanouisse- ment co lectif de la société franco ontarienne. Tel est mon humble avis.
- EDDY lllKIllll Directeur exécutif de [.11 Tribune de Toronto
I.e Musée rmli
insulte les * trancophones
Le 15 septembre 2004, je me suis rendu an Musée royal de l'Ontario pour hunt-premiere de l’expooition «Leo pefleo». C’est avec consternation que j’ai constant que toute la signali- sation et tous les mneeignemenis (tithes, inscriptions maniac, etc.) étaient présentés en anglais settlement.
On m’a dit que le Musée n’avait pas le droit de modifier les textes
.
lorsqu’une
ition rovenait de l’étranger (des Etats~Unis dans le cas m
t). ostunepiétm
excuseLeMuséem a1
de l’Ontario at soumis a la Loi sur les services en francais et oit cesser d’insulter 1e public francophone.
Ce n’est pas 1a temiete fois sect aussz pmduit lors de l‘exposition «Egypte étemelle». Bien stir, les gens du Musée
langue franqaise. roduisent un guide
importants sont traduits,
sur les murs et dans les
Le Musée royal de tonhrio s’affiche '
une institution de
le Musée royal bafoue In
t qu’ils . Iustement, si tous les texm
uoi ne la retrouvonsrnous pas
? t comme .Tous pam'ieaux ublici-
tauesentourantlesioedecmsh'ucfionhangedames looret
Queen’s Park) sont
dame «The ROM
builds... The ROM discovers.. The OM inspires... What’s Open Now... Shop for nomme...» Et l’immense affiche au coin de la rue annonce en ' seulement l'exposition «Pearls».
Cetoe situation est '
ble. Aussi ai-je porté plainte auprés de l'Oifice des Affaires framophones ' et déja parier u’on va me servir une commecef-ut ecaslorsquej’aiportép '
. Mats )e d’ores banalepeetuxbancale, au su' d'«Egypte
étemelle». Il est temps que la nunistre sene la vis. e veux savoir ce qu’elle entend faire pour remedier a la situation.
moiuscules s v p. 7 V
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Entente des premiers minisires sur la sanié ‘ les trancophones font des ains, mais il reste du travail a aire
L’entente sur le financement de la santé intervenue entre les pre- miers ministres du pays aidera a améliorer les soins de santé en francais dans tout le pays. 11 reste cependant du travail a faire, ont souligné la semaine demiére les presidents de la Fédération des communautés franco hones et aca- dienne (FCFA) du anada, Geor- es Arés, et de la Société Santé en grancais, Hubert Gauthier.
M. Ares s’est réjoui que l'améliora— tion de l’acces aux soins de santé en francais dans tout le pays ait fait partie des sujets discute’s lors de la conference. «Pour la premiere fois, une entente nationale sur la santé comporte un engagement explicite a l’égard des communautés franco- phones en situation minoritaire, alors flue nos préoccupations sont énéra ement passées sous le tapis ors de ces conferences», a-t-il com—
lES HIERS 11 y a 30 ans
mente.
ll souligne que la li‘CliA, la Societe Saute en francais et de nom» bieuses autres organisations tran- cophones ont travaille depuis des mois pour s’assurer que la sante des francophones soit discutee lors de la conference.
M. Gauthier s'est reioui de voir que le communique final comprend un engagement quant a la forma- tion, au recrutement et a la retention des professionnels de la sante pour les communautes francophones en milieu minoritaire,
«La formation et le recrutement sont un axe tres important de notre demarche, etant donne la penurie actuelle des professionnels de la santé dans nos comm unautes», a dit M. Gauthier. «L'autre axe tres important est celui du financement des services eux—memes. ll nous reste encore du travail a faire de ce Cow.»
Les implications pour les franco- hones de cette nouvelle entente sur la santé seront discutées lors de la 2* assemblee générale annuelle de la Societe Santé en francaisflui aura lieu du 15 au 17 octobre a oncton. La FCFA du Canada est un organisme national qui regroupe les associations francophones porte- parole de neuf provinces et des trors territoires, ainsi que huit or amsmes nationaux ayant le statut e mem- bres associes. Elle a pour r61e de clefendre et de promouvoir les droits et les intéréts du million de francophones a l’extérieur du Quebec.
La Societe Same en francais, fondee en 2002, re yroupe des organ— isations dont le role est d’accroitre l’accessibilité des soins de santé en francais dans toutes les regions du pays.
- rtotmioii ors commutts FUNCOPIIONES ET ACADIIIII
Création du Conseil des Affaires franco-ontariennes
Mill-FRANCOIS SYlVES‘I'IlE poultronrois©sympotitoro
C'est en 1968 que le gouveme- ment de l’Ontario commence résolument a offrir des services en francais. Cette année-l‘a, il ado te des amendements a la Loi sur ’é- ducation reconnaissant officielle- ment l’existence des écoles élé-
'mentaire,s de langue franqaise. ‘Ces amendements créent aussi
s comttés 'consultatifs de langue noise aupoés des conscils sco- ires.
En 1969, une premiere école sec- ondaire publique de langue fran- caise ouvre ses portes, une Com- mission permanente Ontario— Québec voit 1e jour pour favoriser les échanges en matiere d’éduca- tion et de culture, le Bureau franco— ontarien du Conseil des arts de l’Ontario est créé, de meme qu’une section de langue francaise a TVOntario.
En 1970, le ouvernement nomme un coor onnateur du bilin uisme charge de veiller au déve oppement des services en frangais dans les ministeres.
Deux ans plus tard, il crée 1e Conseil su érieur de l’éducation des écoles elangue francaise, uis une Commission des langues ’en— sei ement de l’Ontario (1973).
e 25 septembre 1974, 1e gou— vemement de Bill Davis met sur pied le Conseil consultatif des affaires franco-ontariennes ui devient, en 1977, 1e Conseil es Affaires franco—ontariennes (CA- FO). Son mandat est élargi pour qu’il puisse conseiller le gouverne— ment sur tout, sauf l’éducation qui releve du Conseil supérieur de l’éducation des écoles de langue francaise.
Les travaux du CAFO donnent lieu a plusieurs développements intéressants, et ce, dans tous les secteurs d’activités. On assiste a la mise en oeuvre du programme de services en francais dans les tri— bunaux et, en 1977, c’est la creation du Bureau du coordonnateur provincial des services en francais, suivie de l’embauche de coordon- nateurs et de coordonnatrices dans certains ministeres, puis de la nom- ination d’un sous-ministre adjoint chargé de l’éducation en langue francaise.
Bcrivez au Forum
des lecteurs! N’hesitez a nous faine art de vos ‘om our 1’ 'té.
wrunartidedeL’Ezpressou mtoutautresujetquivous
Omer Deslauriers, president du Conseil des Affaires franco-ontoriennes (1975-1981 ). photo: (11((f, P112606
En i978, le Conseil supérieur des écoles de lan’ue francaise devient le Conseil e l’education franco-ontarienne (CEFO) et son
mandat est elargi au domaine de l'éducation post-secondaire. La meme annee, une loi permet la creation de jury's bilingues et on commence le programme de tra- duction des lois de l’Ontario.
En 1979, le ouvernement reconnait le droit e tout franco- phone de subir un proces d’ins- tance criminelle en francais en Ontario Par la suite, la prestation de services en francais augmente de inaniere reguliere.
En 1983, [Ontario devient membre participant de l'Asso- ciation internationale des par- lementaires de langue francaise. En 1984, c'est l'adoption de la Loi sur les tribunaux judiciaires qui con- fere au francais et a l’anglais le statut de langues officielles dans le svsteme judiciaire de l’Ontario.
En 1985, le Bureau du coordon- nateur provincial des services en francais devient l’Office des affaires francophones. Enfin, en 1986, la province adopte la Loi sur les services en francais et crée le service d'interpretation simultanée a l’Assemblée legislative de l’Ontario.
Bénévouas neciiEiiciiés
pour Ie 12° Salon du livre de Toronto qui aura lieu au Palais des congres (255 rue Front Duest, entre la gare Union et la Tour 0N) du 30 septembre au 3 octobre 2004.
llne bonne maitrise de la langue trangaise est nécessaire.
Veuillez communiquer aver: Diane au: 905-709-9009.
Venez rencontrer Normand Lester auteur du «Livre noir du Canada anglais» leZoctobred 141100, on Salon du liore de Toronto !
Coordonnées : volr l’annonce en page 13
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Le journal des lrancophones de Toronto depuis 1976!
Editeur; Jean-Pierre Mazaré Rédactrice en chat: Magdaline Boutros Joumaliste: Marta Dolecki Chronlqueurs: Claude Bergeron, Mireille Desjarlais-Heynneman, Dominique Denis, Bernard Dionne, Gérald Fillion, Martin Franooeur, Pierre Karch, Virginie Lapierre, Mario Leduc, Martin Lettre, Benoit Legault, Pierre Leon, Charles-Antoine Rcuyer, Paul-Francois Sylvestre Photographe: Nicolas Masson Stagiaire: Caroline Roy Agences: La Presse Canadienne (PC). Assooated Press (AP),
“a“ 3 went. Uhhsez le counter ~>< Agence France-Presse (AFP). Agence Science Presse (ASP) , , 7 s, “e- g m Publicité: Aklilou Etaya Abonnements: Esther Vlad Rue AP" 1 .. Services pédagogiques: Paul Ceurstemont W mm , J Imprimerie et services graphiques: Centra Web 416465-6665 . . . dlteur ascocié: Francois Bergeron V'll ' ' " ' 7 ' Date “mite: vendredi a midi, . ‘ , l e PI'OV. Code . Fonda en 1916 1. Express est nubile par L Express do Toronto Inc 91 so veut un ioumal independent do tom attitu- m |. im‘l dc h “mime lion politique cmnmunautaiie ou cornmeiciale Les opinions e" Ises par les stgnataiies dos arttdos Dim dune LE» m u prass n‘e gent uu‘eurmémes Nos chromqueurs at nos u wrespondants ne sont responsabloo out due armies VIII ‘ qu'rls oni signes Les articles 001 signes 5e veulent sinctemeni ntormatits at sont la responsabltté du redacteu' on I . - Chet Tous les aims de reprodiumon at d'im'lisation d'articles at rt-llustrations sont prolaqés at no pouvont Otro obta- Telephone COUI’l’lel . [mm unximnle' m mots nus qu‘avec Ie Consentemefil expltctte 9cm de la direction Aucune rosponsablllté nest assume mm is material EPA R G N E Z . ' redactionnel non soilicne Una (Mowertetour dument attranchie don aooompagnei tout emu do materiel a rebut-
nei apres utilisation Tomas les tomes adrassees a l ’Eirpmss Moo a 995 redacteurs sont commas comrm «on poor tin de publication a moms d'indicaiions (XXVUBHBS écoles L‘Expmss coiite 2 5 en Mosque Labonnement A L‘Ez» arm
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