4 0 VII!!!“ 0 Somnlno du 26 uptombro no 2 odohro 2006
Rencontres en chansons prend de I'envergure
toolraine Sigoum
L'Express — En cette période de ren- trée scolaire, c’est aussi la rentrée culturelle dans bien des domaines. Rencontres en chansons entame sa troisiéme saison aprés une pau- se estivale de quelques semaines, et devrait s'offrir un rayonnement d’une ampleur nouvelle.
L'éte 2006 aura ete productit pour Rencontres en chansons Si, com— me a son habitude, l'organisation a mis les spectacles entre parentheses pendant les beaux iours, d'autres dossiers ont ere menc‘s a leur ter- me.
Ainsi, pour la premiere tois, les spectacles qui s’organiserol‘it au bar ’l'ranzac de la rue Brunswick seront
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le bracelet de In fruncophonie onturienne
mum! mm: olebolle©lexpresslo
.‘ Les bracelets aux couleurs du drapeau franco-onta-
Une soinme qui permettra en ‘
tout premier lieu d'assurer aux ar- tistes locaux Line remuneration fixe pour lellrs prestatlons, sans pour autant abandonner le clesormais traditionnel passage du chapeau en tin de spectacle. Les tonds de— bloques permettront egalement de louer l'une des salles du trait/ac, perlnettant d'accueillir iusqu’a 200 personnes, et de t‘aire venir des ar- tistes professionnels.
Autre proiet envisage par la pro- duction depuis on certain temps, la presence ponctuelle d'artistes de l'exterieur de la region devrait maintenant etl'e quelque chose d'envisageable Lies nouveiles pers— pectives ottrent une vision parti~ culierement positive de l'avenir de
Rencontres en chansons, comme le .
souligne Bernard Dionne, le ton- dateur: “(C'est une etape importan— te dans la progression de cette serie
de spectacles. C'est un grand en- ‘ , .1 . . . , . _ . . I nrce uassoClee au milieu scolalre alors ue lan lals couragement a continuer le travail ; l‘ q ‘ q g
entrepris.»
L'n travail qui se poursuit donc en coulisses, pulsque Rencontres en chansons envisagerait meme de se constituer en societe a but non-lucratit atin de permettre de
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plus grands proiets communautai- res, Une marche deia entamée en iuin 2006, avec la collaboration ex— ceptionnelle de la Franco-Fete, qui y avait organise son spectacle de chansonniers en amont de la gran- de celebration du 24 juin, et qui dev vrait se prolonger le 4 novembre, avec la tenue c’une soiree evene— ment initiee par le Centre franco— phone.
C'est donc dans cette atmos— phere d'allegresse que cet exercice
bre prochain, avec le duo Enchante. Une association voix piano formee par Laurraine Sigouin, une artiste de London, et son pianiste Jake Le— vesque, qui rendra homma ye aux chansonniers du monde ranco- phone, de Séguin a Henri Salvador
Un spectacle qui se tiendra a 21 h au Tranzac, 292 avenue Brunswick
Caiendrier des activités
Semaine du 26 septembre au 2 octobre 2006
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L'INSTITUT DE LEADERSHIP DES FEMMES DE L'DNTARID
Vivre en santé et en forme avec notre corps a touiours été d'une grande importance dans la vie feminine. Sur ce. i‘institut des Leadership des Femmes de l'Onlario (ILFO) organise un atelier pour toutes les ieunes titles trancopho~ nes et francophiles du grand Toronto. Tous au long do cet atelier. les ieunes fiiies discuteront de la santé et de la pré» vention dans la feminine. L'atelier aura lieu au sein du campus Glendon de i'Unlversite York. a parllr du mardi 10 octohre, mercredi 11 octohre at ieudi 12 octobre 2006 do tan a 20h. Celles qui soni interessé pourront nous contacter au 416-480-9653. ou nous envoyer UN courriel a iltoafric@yahoo.ca. Venez vous amuser et rencontrer les autres tilles Francophones et
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2006-07 devrait debuter, le 7 octo— .
rien affichent un message simple mais percutant: «je veux parler en francais». Le projet de Denis Pigeon,
‘ professeur a l'école secondaire catholique Garneau a
Orléans, souhaite engager davantage les éléves a la trancité et les rendre tiers d’une langue souvent per- cue comme contraignante.
«Depuis le 6 septembre, debut de la campagne officielle, i'ai commando (>50 bracelets et 260 eleves en ont acheté un. Cela represente 23% des éleves de l’école. Et environ Till) parents en ont achetés.»
Denis Pigeon est tier d’annoncer les premiers resul— tats de la vente des bracelets dans son école. Certes, le nombre est encore faible chez les eleves mais it comp— te bien ne pas s’arreter la. «L’objectif a long terme, c’est— a~dire pour juin 2007, est que le bracelet soil devenu une icone c ans toute la province et que les eleves aient ven— du ce concept a leur entourage.n
Au-dela dc l'obiet, le bracelet symbolise un choix de vie, celui de la francophonie. Vendu 3 3%, le bracelet est donné a l’eleve apres qu’il ait signe un formulaire ou il s’engage a parler en trancais. Pourtant, la decision de se clemarquer et d’aftirmer sa francophonie reste en— core tres ditticile a réaliser chez un public adolescent. «Beaucoup d’éleves sont réticents, explique Denis Pi- geon, mais nous sommes optimistes car de nombreux eleves qui veulent s’exprimer en francais peuvent le fai- re. Beaucoup d’éleves croient encore que le trancais est one cause perdue, que c’est une langue contraignante
est la langue de l’amusement, des films et des ieux vi-
lu premi‘ere gurderie Meilleur
déos.»
Le proiet, qui a débuté doucement en 2003, a verita- blement été lance a la rentree scolaire et tend a s’elargir aux autres écoles de i’Ontario trancais et tors des grands evénements de la francophonie «mais touiours par le blais des éléves».
Pour dynamiser le proiet et établir un réseau com— munautaire francophone autour de l’ecole, les deux ins- tigateurs, Denis l’igeon et l‘animateur culturel Claude Bouchard, ont pris contact avec des commercants pou- vant s’exprimer en francais. «Nous nous engageons a acheter trois certificats cadeaux d’une valeur de 20$ cha— cun aux commercants et en retour, ils nous en fournis— sent trois gratuitement.»
Ainsi, es éleves ayant signé le tormulaire d’engage- ment et qui portent le bracelet peuvent participer aux 60 tirages de certificats cadeaux pendant l'anne'e scolaire. «L’ordinateur choisit un nom d’eleve enregistré dans la base de données, qui a décidé de s’exprimer en francais et de porter le bracelet. Nous allons dans sa classe, nous demandons s’il est la et s’il porte son bracelet. Si c’est le cas, on lui donne le certificat gratuit.»
Une initiative ositive pour la francophonie qui pour— rait faire tache d' uile dans les autres etablissements de l’Ontario tranqais et dresser le bracelet en veritable sym- bole de la communauté.
Wynne uttueillie
depart ouvre ses portes
L’Express -— Vendredi, en présen- ce du maire de la ville de Toron- to David Miller et du président du Conseil scolaire de district du Centre-Sud-Ouest (CSDCSO) Jean-Luc Bernard, la premie- re garderie du projet Meilleur départ a ouvert ses portes. Une manoeuvre destinée, a terme, a améliorer l'offre en garderie d’enfants dans le Grand Toron- to, jugée encore trop limitée par les différents acteurs du monde de l’éducation.
L'école catholique Saint Jude a dé~ sormais sa propre garderie. Elle est la premiere d'une liste qui de— vrait permettre d'ici ianvier a pres de 3 000 éleves de beneficier de services de garde municipaux.
2005 par le précédent gouverne~ ment de l’Ontario, la creation de ces garderies juxtaposées aux écoles offrira une solution aux pa- rents qui travaillent ‘a des horai- res décalés par rapport aux exi- gences scolaires.
Ces lieux proposeront un ser- vice tant en matinée qu’en fin de iournée et les équi es seront ap- puyées par des ort ophonistes et des pédagogues.
Un service dont les éléves de Saint Jude peuvent déja bénéfi- cier, et qui devrait étre actif des ianvier 2007 sur tout le territoire du Grand Toronto ou la demande a été enregistrée.
Au total, douze services de— vraient étre déployés d’ici a jan~ vier 2007 sur le territoire du
t‘r bros ouverts
L’Express - En début de semaine derniére, Kathleen Wynne est de- venue otficiellement la troisiéme ministre de l’Education de l’On- tario de cette année 2006.
Avant cette nomination, bien ac- cueillie par les organismes d’édu- cation franco~ontariens, elle était adjointe parlementaire de ses deux prédécesseurs, a savoir Sandra Pu— patello et Gerard Kennedy et pos- sede donc une solide experience sur le sujet.
Benoit Mercier, vice-president de l’Association des enseignan— tes et des enseignants franco-on— tariens (AEFO), a rendu hommage a une interlocutrice qu’il considere
C SDCSO,
Base sur un projet initié en
de choix: «Nous sommes contiants qu’elle cherchera a solutionner cer-
will
"MW” amen-u-
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tains des problémes qui perdurent dans le systeme d’éducalion, no— tamment ceux qui sont liés a la for~ mule de financement.» Un appel du pied a peine masque alors que certaines écoles francophones font face a des difficultés financieres.
De son cote, Parents partenaires en education (PPE) a adopté une li- gne semblable, se satistaisant par avance du tait que «la nouveile mi— nistre saura s'engager envers une education de qualité», selon Gene- vieve Folliet, présidente de l’orga- nlsme.
Des recommandations qui, comme elte a term ‘a le souligner, prevalent aussi bien dans le do- maine du public que du prive.
maisom do .i‘olm infirmwri
par cum all plus lard iv 30 octobre, 2006 a l‘udrrsse suiialiie *
lulr can obtain (his i'li/r'mmlli‘on in I rig/iii; at the mine uddms
Sollicitation de l’opinion publique concemant l’intention dc renouveller le permis d’exploiter une maison de soins infirmiers des établissements suivants
Christie Gardens, Toronto Craiglce Nursing Home, Scarborough Leisureworld Caregiving Centre - Ellesmere, Scarborough Leisureworld Caregiving Centre - Etobicoke, Etobicoke Leisureworld Caregiving Centre - Lawrence, Toronto Leisureworld Caregiving Centre - Norfincll, North York Leisureworld Caregiving Centre - O’Connor Court, East York Leisureworld Caregiving Centre - O’Connor Gate, East York Leisureworld Caregiving Centre - Scarborough, Scarborough Leisureworld Caregiving Centre - St. George, Toronto North Park Nursing Home, North York Seniors’ Health Centre, North York The Heritage Nursing Home, Toronto
Avanl llt‘ prrndri‘ lIIIt‘ derision finale au suiet do (‘lflllltht‘lllt'lllS cirhaul mcntionuris. on demandi- l'opinlon pubilque filnllirnlt‘mt'lll a la 1in .i‘urlfli' Si vous aver. do tommeliiaires on dis opililom ei desire) en itI'lSt‘r lt‘ minislcrr do la Same cl do Soins dc longuc durrii, mils pom r1 les iai’rr prim-nit
llirecll'ur en tertu de la loi sur les nlaisons (lt‘ soins infirmiers Ministeri- dc in Same rt lies Spins dc iongue durr’e do I‘lllltario Direction lies linen dc xoins dc tongue duri‘t‘
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Tt‘l. : lily-52‘ ‘515 Trier. * Motto-iii.)
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ire (lll‘l‘t'lt‘ltl' etudiera lollies lt‘S .xounilssions avilnt lie pl’t‘lllll’t‘ uni‘ decision.
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Ontario