8 . I'mnsss . Somulno an 3 an 9 cool". 2006

 

 

MUSIQUE

 

 

Bob 'I'cIiIleIer: unImI le steel a do style

DOMINION! DENIS
ddenis@lexpress.to

 

Vous con naissez la boutade? ()n
dit de la guitarepi'rlii/ sli’i’l qu’el—
le est employee pour nous rap-
peler, langoureux larmoiements
a l’appui, que nous sommes en
presence d’ une chanson country.
C’ est peut- -élre vrai a Nashville,
mais il s'agit la d' une vision
troinpeuse: que ce soit dans la
Inusique hawaienne ides les an-
nees 1920—30), le western swing
lit la Bob Wills) ou encore le sa-
cred steel lveine ultra-ionissive
du gospel at'ro—américainl, cela
fait des lustres que l’instrument
a fait preuve de sa polyvalence.

Aver l’iob laillotor coinino ovaw
goliste, lo pedal steel poui‘suit son
tl‘LlVl'l‘ iocuinonitiuo on investis
sant lo tl't‘lit‘dtl du ial/ latin, grit

 

co a Bob Trill/i‘li'l‘ l Lus Hi'rmiuiiis
lautoproduction).

Ntais lo virtuoso originairo
d 'Uttawa, qui a elu domicile a Os—
hawa let qu’on a pu ontondro aux
cotos do Serge Monotto ot do Phi—
lippe lilahaut) n'ost pas du genre a
inotissor pour metisser.

liormis la juxtaposition d’ins—
trumonts (sloi’l, porcus ot section
rvthmiquo cubaino, pour les-
soniiol), liuli liirlliftiir' Y Los HorA
iiiiiiios s'on tient aux parametros
d’un tan latin aussi convention-
nel quo convivial, qui so savouro
tel un iiiiirilii bien frais au bord do
la plscini‘.

L'n legor bomol, pourtant: si
l'on oxclut quatre interludes do
percussions, cottc- .iouvolie ga—

 

l,l‘,\ soiimiss‘ioiiniiircs doiiciil :

-r-r-r

soins dc longue durée.
MSG 2E5.

Appel d’offrcs pour la
construction d’une maison dc
soins dc longuc duréc

liiiiis lc cadre dc l'cngagcincnt ilii goineriicnicnt dc l'tlntario a presencr

(‘l ii iiccroitrc i‘iicccs‘ am his dc soins do tongue durec dans la pron'nce. le
ministere de la Santé ct dcs Soins de longue durée lance un appcl d‘oi’frcs‘
poiir iii construction d'unc minson dc soiiis dc longuc durée commc suit :

Lieu : Ville de Kingston
Nombre de [its \‘lSéS : [60 au total

0 posscdci: limit l'optioii dc loner on d'iichcter iin terrain, ou délenir un
hail it long tcrmc sur un terrain.

0 donnci‘ lLl preuvc qii‘ils rcpondent ziux exigenccs du ministere en maiierc
dc liniinccs. il‘iunéiizigcmcnt et de functionnemeni,

(th nppcl d‘ollrcs cst onicrt ii route cntreprisc ou pcrsonnc intéressée a créer dc
noui'clles‘ maisons dc siiins dc longuc duréc ii Kingston.

Pour nbtcnir Ullt‘ troiissc ilc llt‘lllllllllt‘ on do plus amplcs renseigncments‘,
composer lo 1 116 526-71 ill on render—ions sur lc site Web du ministérc :
mwphcalth.goi.on.ca/indexf.html.

Les dossiers doiicni on soiimis iiu plus lard lo 10 norembre 2006. a

1'7 heures. {i l'adrcssc suiiiiiitc : Ministere de la Santé et des Soins de
Iongue durée. Direction dc la planitication et du renouveilement des
. , rue Ba). suite 702. Toronto (Ontario)

Les candidats rctcnus scroni iinnoncés en déccmhrc 2006. Toutes les
propositions scront ciiiluccs‘ scion les memes cntcres.

Ontario

 

 

 

CRTC

l§

observations est le 18 octobre 2006

du CRTC

I'lr

Conseil de la radrodrflusron et

Avis public
CRTC 2006-120

Le Conseil a ete sarsr de la demande qui suit La date limite pour le depot des interventionSi

- Canadian Satellite Radio Inc. — Modification de licence d‘un service de radio par
satellite par abonnement — L‘ensembte du Canada

Pour de plus ampies renseignements. veuillez consulter laws public CRTC 2006-120. Si
vous désirez appuyer ou vous opposei a one demande ou obtenir une copie de l'avrs
public. veuillez consuller to Site Web du CFiTC au www.crtcgcca a la section « instances
publiques » ou appelez ie numero sans trais 1-877-249»CRTC, Toute information que vous
soumettrez. incluant tout renseignement personnel. sera disponible sur le site lnternet

des telecommunications canadiennes

Canada

§

Canadian Radiojtelevvsion and
Telecommunications Commission

 

 

19 octobre 2006

 

Avis d’audience publique
CRTC 2006-10

Le Conseil tiendra one audience publique a partir du 14 novembre 2006 a 9h00, a
l‘adminislration centrale. l, Promenade du Portage, Gatineau (Quebec), atin d'e’tudier
les demandes qui solvent La date llmlle pour la depot des interventions/observations est te

Canad'éi

- Ultimate indie Productions Inc. ~ Demande de licence pour une entreprise de
programmation d emtssrons speCialisees de categorie 2 — Lensemble du Canada

lo tte liolo a pm ine la bar ro do '\ 28
minutes

Aux dos riiusicions du calr
bro d'.»\iidro Roy (a la guitai'o) ot
Sean (Wonnor tau sa\o), l’ami
Bob aurait pu on prolitor pour
poser sa grille a quolquos classl’
quos du repertoire ali'ow ubain oi
.s imposor, pourqiioi pas, comnio
lt‘ (Illicit \l'l'nl‘l'lll tlll [li'ilill ‘ll'l'l,

ii'iiii‘i'.liiililiirlli'li'i:i iiii/

MADEIEIIIE ET MOI

 

Au depart, lo crovais nai'veinont
quo Madeleine l’ 'yroux rostorait
toujours mon petit socrot.

A l'opoquo do lli'i'iiiiiliiiiil, son
premier disquo, ollo rostait l'at~
taire d'uno poignoo d'initic‘s, so—
duits par son curioux alliage do
l’atsv Cline, do Billie Holiday oi
do pop d'inspiration (ills.

Mais apros l'oftot Norah Jones,
laquolle a ecoulo uno vingtaino
do millions d albums griico a uno
rocotto similairo, il tallait s'atton»
dro a co quo lo plus vasto public
«idocoiivron l’eyroux, ce qui out
lion .1 la sortie do Cilf'i‘li’s.s litI’i‘ il
V a dou\ ans.

' La consecration, on n'on doute
pas, viondi'a avoc lliilf Tlii’ Perfect
World (Rounder).

Sagomont, l'intorproto tran—
co amoricaine ot son realisatour
Larrv Klein son sont tonus a la
tormulo gagnanto. l n lait, la prin-
cipale audaco do Madeleine l i_\—
roux rosido dans sa tacon do sor~
tir dos chansons do loui' conte\to
pour los passer dans son colima»
tour: c'ost ainsi quo l'rii'ri/ltoilii's
'liillriix (souvenorvous do Allillll'
‘Qlll Cowboy) doviont ici uno balla-
do au chai'mo opiaco, tandis duo
le River do Joni Nlitcholl donno
liou a uno lecture tout aussi lan~
goureuso, a laquollo htl lain,v \‘iont
preter sa voix d'uno dochirante
boauto.

Vlalgre quolquos couacs lune
locturo flasquo du Hiiiit ()l Silllllc
diii/ .Nici/it do lom Waits qui glis-
se dans la torpour ot l ennui), lliilt
Tlll’ Perfect World contiont tollo-
mont do moments taillos sur mo-
suro pour los ondos (l’irresistible
l'm All Rig/ll dovrait lairo lo tour
du monde) qu'il somblo quo Ma~
doleino l’ovroux sora desormais
conda m nee a dovonir lo potit so
cret do tout lo inondo.

Madeleine l’i'i/riiiiv solo
on Music Hall (147 Dillllili'lll)
li’ mi'l‘i'l'i’lll 18 ltl‘lolll‘i‘ .

IIEll ET lES FRINGINES

sisters euclidi

 

Dopuis los annees 3U, los ja/xmon
ii‘nprovisaienl sui’ dos themes si»
gnos l‘orlor ou (iorslnvin, c'ostni—
dire isur los chansons pop do lour
opotluo,

Si lo langago rvthniiirue ot har-
moniquo du ia// a continue d'ovo—
Iuer, son repertoire n'a iamais
quilte col ago d’or, croant co cu-
riou\ decalago ou un saxophoni»
to qui a grandi avec Bowie so tour—
no \‘ors liiili/ Be Good oil Moonlight
lll l’t’l’llltllllllt‘b qu'il poi'to son ins-
trument a ses lovres, Mais lo gui~
tariste torontois Kovin Broit n'ost
pas un vrai iii/“nan, meme s'il no»
gocio avec uno aisanco dosinvolto
los coinploxitos do l’idiomo. ll n'ost
pas, non plus, du genre a tournor lo
dos a un deli intrigant.

Avant touiours cotoyo l'ii'in‘re
do l\lell Young, llrt'lt el ses acol)»
tes dos Sisters liuclid so ponchont
sur une di/aino do themes do lour
compatrioto. l‘ourquoi Young?
“bios chansons out do suporbos
melodies et do solidos structures
l‘iarmoniquos qui nous somblaient
"porter" los chansons sans poino»,
o\pliquo Broil dans la batouillo ac-
compagnant lx’iiir Niii/ lx’iiii (Nor-
thornbluos Music).

l.o rosullat, «iiissi eclato LIUC to-
nitruant ot pai'couru d 'occasion—
nels olans de grace melancolique,
n'ost pas sans rappolor la demar—
clio do Cra/v Horse, les compao
gnons do decibels avoc lesquols’
town; a signo quelquosains do sos
plus memorablos albums.

l‘ouriant, on placant l'accont
sur lo groove au detriment dos mo—
lodios ot de la charponto harmoni—
duo, Broit somblo controdiro son
propos, demontrant a quol point
co repertoire souttro do la trans—
position a un cadre instrumen-
tal (nul douto duo los chansons do
Dylan soraiont voueos a on ochoc
similairo)

L'o n'ost pas tant killt' lireit ol C“
aiont doliboroinont choisi do ron~
dre cos pieces inoconnalssal‘los,
mars on voulant rondro compto du
propos sans lo citor lcommo c'ost lo
cas du doulourou\ Tllt’ Needle Arid
llii' Dailiiigi' liiiiii'l, ils sacritiont un
dos attraits principain do cette
rouvro.

lit pour parlor bion tranc, uno
reprise instriimontalo d'une chan—
son commo 01111) no tait qu’on o\-
poser Ia monotonio, ot rogrettor
que lo guitaristo no soit pas plu-
tot allo musardor du cote do lim-
my Webb ou Burt liacharach.

Le resultat out oto plus provi—
siblo, cortos, mais combion plus
roiouis‘sant.

Vivre mieux
a Toronto, C 'est

.recevoir des conseils_
jurIquues en iranCais.

los sorvrios il‘iiiile iiiiiiliiiiio (lli (critic liilli(0i)lillllt‘
(in loioiito s'iiilrosseiil illlk pl‘iSllililC‘S ii lilllilt‘S

to]... ..

ll‘VWlllS oi (li‘Xiill‘SSltlll lidlliillSt" ilii (ilitllll lnionto

- Droit de l’immigration et des rétugiés.

-Droits des iocataires

~ Droits en matiere d’aides sociales et de soulien au revenu

- Droit de l’emploi
- Dioits de la personne

- Questions portant sur les droits linguistiques
- Services de notariat sur render-vous
- Education iuridique par Ie biais d’ateliers comn‘tunautaires.

 

 

Bien urcueilli par les critiques, le nouvel opus des lrois Accords a réussi 0 éviler le piege du
réchnullé

photo ()livrei (ioteou

les Trois Accords: «Jouer
clu rock nu quotidien!»

YANII BIIXEDA
ybuxedo@lexpress.lo

C’est un événement en soi pour la
communauté francophone lorontoi-
se. Pour la premiere fois, le tres en
vogue groupe de rock québécois Les
Trois Accords est venu jouer dans la
Ville-Reine le 1" octobre dernier.
Au Kcol Haus, ils se sont joints 3
trois autres groupes dans le cadre de
la Journée internationale de la mu-
sique, pour un concert gratuit. L’oc-
casion pour L’Express de partir a la
rencontre de ces cinq allumés de la
chanson francophone. Portrait.

A la simple evocation du succos do
lour premier album (Eros lltilmmoiilli
album turbo (pres do Ztill lilill exem-
plairos ecoulos), difficilo do croiro
quo l'histoiro des Trois Accords est
a l'origino d’uno simple blaguo. lit
pourtant. ..

Cost on 1997 que l’avonture do-
buto, a Drummondvillo au Quebec.
Olivier Benoit (voix) et Simon Proulx
(voix ot guitaro), alors iounes olevos,
decidont do constituor un duo mu-
sical pour romportor lo premier prix
d’un concours local; un somptuoin
cheque do 75 5.

Do cotte experience nail un veri-
table proiot musical, quo los instiga~
tours souhaitont do la trompo du duo
d’humoristos quebecois l’aul et Paul.
Et dans los trois anneos qui suivont,
ils intogront Alexandre l’arr (\‘oi\ oi
guitaro) au groupe oi ecumont les
bars ot petites sallos do lour region.

L‘no dvnamiquo qui connaitra
uno premiere acceleration on 2001,
avoc l’integration do doux nouvoaux
mombros, amis d’entanco egaloment.
I’iorro—l..uc Boivort (basse) ot Charles
Dureuil lbattorio) \‘ionnont comple-
ter lo groupo,

Cost veritabloment on 2002, apros
quelquos ossais, quo lo groupie so Ian»
co dans l'enrogistroment do son pro—
mior album autoproduit, GVUS Mum—
moiilli irllirim, commo so souvient
Charles Dubrouil: «En Zillll, nous
avons debuto notro travail, mais cola
rossomblait a quclquo chose do no
buleux, pas vraimont affine. Co n'ost
veritablomont qu'on 2002 clue nous
avons lance la machine el commen~
ce .1 ecri re boaucoup, Nous avons om-
monago dans un appartemont corti-
mun ot v avons installe notre studio
au troisiomo otago.»

tit c 'osl pousso par on public min-
co mais passionno qu'ils ont creo lour
premiere maquotte. are» rapido-
mont, cortains titres ont innonde los
ondes dos radios locales ot cortains
medias nous ont domande un clip
pour certainos do nos chansons alors
quo nous n'avions memo pas d'al—

bum». s’amuscwtvil.

( ’ost tinaloniont on Zilll \ true to It-
bel lndica losdecoin ll tilt in pioposl
do reonregistror lour premier album
i a version turbo do (Eros .\lirmiiioiilli
est appuvoo avoi' dos moi-ens consi—
dorables et lo premier single du groui
pe, llllil'lllll'lllll', concriiiort lop‘itluo
mont no large public

Li'no ascension rapido dont so \tlll'
\‘iont lo batteui'. ~lndica a su nous
monlror qu'ils chorchaiont a pro-
mouviiir Lino Hill‘sliliit‘ ot non one
image marketing \ous inons col-
laboro dans lo respect du trinail do
l’autre ot c'ost co our .1 tacilito gran
domont la roussito du groupe. l'ill'tl"
ment, avoc los contacts ot los minens
linanciors d’une maison do d isdues, ll
a ole plus tacilo do nous taii‘o killilldlc
tro du grand public, mais liidii a nous
a pormis do consor‘x or notro integritii
Cost probablomont lo moillour ihoix
protossionnol qul‘ nous Mons l'Ll a
ldlrt‘.“

l:n Zillln, l.os lrois Accords ont
mi mo en lo pri\ ilo go do portage r par
doux tois la sco no dos m\ thiquos l\ol—
ling Stones, on aout a Ottaixa pins on
so ptombro a Moncton

Dos experiences qui ont marque
Charles: "Notis avons \ raiment pro—
tito do ios moments inoiibliables. ll
ca a eto un bond pour noti‘o carrioro,
notammonl a Monclon. \ous avons
iouo dovant pros do ill tit ill personnos,
ot dopuis, nous romplissons les salles
au Noin‘eau—lirunsivick ,

Nul bosoin d'mpliquer alors a
quol point lo nouvel opus du grou-
po otait attondu, Au printoinps 20%,
Grand i‘liiimpiiiii i'iiti'i'iiiitiiiiiiil tll'
i‘oiirsi’ s'est have no chomin dans los
bacs ot connait un sutcos tout a lilll
honorable. liien aii uoilli par his or
tiques, il a roussi a oi itoi' lo piogi- dii
rechautto.

Alors cortos, l’ot'tet do surprise ol
do decouvorto n’est phis la. niais les
cinq musicions onl su so renouiolor
ot proposer un produit dans la memo
voine sans pour autant tomboi‘ dans
la tacilito, commie lo souligne lo bat-
tour: «Nous n'avons pas lait l'orrour
do pordro notro personnalito pour
sortir rapidomont iin cd. to dou\io~
mo album nous rossemblo tout .iutant
que le premier, ct lo public 111 bion sai-
si. .Nlaintonai‘it, Lin album est on pro
duit qui so detend sur scone, ot nous
sommos a\ ant tout un groupo sce
niquo. Nous na\ons pas d .iutio ob
iociit quo celui do ]Uilll du iotk au
quotidien.

L‘no vision alternative do la musi-
que qu'ils aimont a \Ulllt‘llil', a lunar
go do lours predecessours dans cot-
te mouvanco quo soiit los ('oivbm's
Fringants, (irimslxunlx ou encore los
Vulgaires Machins.

 

Black Walk Corporation — r3 demandest — Demandes de licences pour des entrepnses
de programmation d emisSions speCialisees de categorie 2 — L‘ensemole du Canada
High Fidelity HDTV lnc., au nom d'une société devant étre constituée —-

l7 demandest -« Demandes de licences pour des entreprises de programmation

d emissmns speoaiisees de categone 2 en haute definition — L‘ensemble du Canada
Greek National Television Network (Canada) inc. ~ (2 demandes) — Demandes de
ticences p0ur des entreprises de programmation d‘emissmns spéoalisees de categorie 2
— L‘ensemble du Canada

VTV Canada, inc. — Demande de licence pour une entreprise de programmatiori
d‘emISSions spécralisees de categone 2 ~ Lensemble du Canada

Novus Entertainment Inc. ~ Demanoe de licence pour une entreprise de distribution par
cable — Toronto (Ontario)

Pickering College Corporation, au nom d‘une societé sans but lucralll devant étre
constituée — Demande de licence pour une entreprise de programmation de radio FM

— Newmarket (Ontarim

.

Pour de plus amples ienseignements veuittez consulter laws d'audience publique CRTC
2006-10 Si vous desnez appuyei ou vous opposer a Line demande ou obtenir une copie
de iavrs daudience publique veurilez consuitei le Slie Web du CRTC au W a
la section ~ instances DUDHQUGS ~ ou appelez le numero sans liars 1-877-249-CRTC Toute
inlormation que vous soumettrez inctuant tout renseignement personnel. sera disponible sur
Ie Site Internet do CRTC “g

Iii:

 

Canadian Radio-television and
Telecommunications Commission

Conseil de la radiodiffusmn et
des telecommunications canadiennes

 

 

lit to (tilt ioiiioiiio lo llil)ll (to la liliilllll‘ ol lo (lillll iiiiiiiiiol, iioirs
ioloiiiiis los poisoiiiics ii. ililloioiili-s iossoliiios,

C’est a vous d’agir. On est la pour vous.

7‘17: fCentreh
ranco one
4k p

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www.centrefranco.org

VIVRE MIEUX

 

Sous I éililice de l‘ Ontario (allege of Art and Design I' oeuvre scintillante de Derek Michael
Besanl — tirée do so série F fleen Restless Nights (ollecli'on — royonnoit dons la nuit.

Une bonne nuil

 

 

l.’Express — lls étaient environ 425 000 clans la nuit de sainedi a dimanche,
a sillonner les rues de Toronto, .5 la recherche d’une experience culturelle
nouvelle. Du coucher du soleil samedi a l’aurore dimanche, quelque 150
galeries d’art, musées an encore loves-autos et piscines publiques onl gar-
dé leurs portes ouvertes pour accueillir les amateurs d’arl contemporain
dans Ie cadre de la premiére Nuit blanche torontoise. Un succes inespére,
s'est réjoui la mairie de Toronto, 5. l’origine de I’événement.

«Le temps d'une nuit, 'loronto ost doionuo une ville \ ibrant au r\ thnio do
la culture. Nuit blancho a pormrs do presenter la scono artistiuuo It‘l‘t‘lilt‘hi‘
dans toute sa splendour», a souligno David Miller, mairo do loronlo

Daniel louannoau, ambassadour do l-ranco au ('anada a tail lo \l‘\ili;('
d'Ottawa pour assistor au lancoment do la tirando l \Pt'l'll‘ilil‘, la iontriliii
tion trancaiso a la Nuit blancbo torontoise his a l'odiliio \‘laRN .i l‘inti-rsoi tion
des rues College et University, l'exposition avail pour \UL ation do rassoriibloi
artistes d'origino canadionno ot lrancaiso ol urandos marques do it lexapono
Une rencontro ontro l'art ot lo soctour privo a lacruollo ont notaininont pai‘tn i~
po Lancome, l acos‘to, Smart, l-i ian, etc i 'anibassadoiir do l more a \iil‘sl l'oi
casion pour rappolor que la Null blancho est un “till“ opt i too il v a i ans .i
’aris par lo mairo Dolanoe ot Christophe ( iirard, adioint au mairo c harpo do
la culture, pour pormottro aux gens do docouvrir l'art l ontempoiain

Christophe(lirard otait )ustomont present a lorontmo nook end pour .is
sister a la premiere Nuii blancho toronloiso, on conipaonio du lllrlll'l' \iilli-i
it'otto Nuil blancho a pormis do tlt‘lllllnll‘t‘l' (lllt‘ los loi‘ontois dllilt‘lil one on
semble pour pa rtagor ot docouvrir les beaulos ot les sec I't‘l\ a rt l\l iiriies do li‘lll
ville», a~t-il roniai'que