g_-- L'EXPRESS DE TORONTO GASLes (We: “ON CORPS N nelneliem \Qu’l W ' Le rire de la semaine on! (’57 w Hewitt” De L’Ar’ec Qui si—sf E NFe Rm" mm; UN (when PM Pant M (ou‘iis conTnniufiTwfi FRANMPHONE.’ Sign Cm65e /3-- :5- if; _1=="-> ,_\i Semaine du 20 au 26 mars 1990 LE COURRIER DES LEC TE URS J Tolérants do toutes les provmces, umssez-vous! J'en ai assez! Ie no ux pas avaler les dé— cisions commo cellos u Conseil municipal de Sault-Sto—Mario ot d’autres villes ontarionnes, dos décisions dont l’étroitesso d’esprit et la bi- goterie monacent les fondoments memes de notre beau pays. Le temps est arrivé do contro—attaquor. ll taut créer une organisation a travers le pa 5, pour romouvoir sur lace la tolerance et a comprehension mutuel e, la nérositeet la justice - partout Oi‘i elles sent a quées. Et, acmolloment cos valeurs sont sous at- taquo. Les projugés ot les biais so montront dans toute leur laidour un ut. A tout co uo lo Canada a acoom li dans le do- maine e la tolerance, il ostd' ’ ' e de croire que les années récentos nous ont apporté: lunilinguisation de 27 villes ontan'ennes; la croissanoe do l'Al’EC, (l’Alliance pour 2&6- sorvation do l’anglais au Canada) de a 35,000 membres; la lutte au Québec con- cernant la Loi 178; la lOi sur l’affichage ablic; l’attaquo contro les Francais au Mamto ,les fédération dos 'ons; la romontee du so ratismo au Qu ,ou, du moins, dos sen— 'ments d’aliénation envois lo Canada. C’est minable et cola porto attointe a l’héritage canadien. ll faut espéror pour notro ,_ tabon intemationale que lo mondo no d uvre pas cos faillos dans notre caractere. ll lui sera difficilo do croire qu’un pays si choyé puisse s’abaissor a co point hes gens du Canada ont recu, commo fi‘ duciaires, un demi- continent d unoboauté ot d’udrlte richesse l ondaires, et en plus une tra 'tionde 'x, ocom misotde rogrOs. Les Canadgils ont aupsgi) developp une competence assez extraordinaire ans les domaines de la diplomatic et do la négoc- iation et du dévelo t d'uno cortaine harmonic otcompré ension socialo. Pour maintonir et augmentor cotto tradi- tion il taut avoir confiance l'un dam l'autro ot se respecter. Ilsemble enousayonsbesoind'unovoix forte ur uquer oeux qui n’ont (Brno vi- groupo non-partisan, uno origanisation por- manento du pouploqui so fora e champion du bilinguisme ot du multimlturalismo, du dualismo canadion, dos reoccu ’ tions tou» Chant les autochtonos ot es nc'-< anadions Brof, il nous taut uno o ranisation omni- résento )ur ropondro 3 cs fliupes tols OREot PECot poursofaireloc * mpion do la tolerance ot do la comprehension roci roquo sur uno base pormanonto au soin d: notre société multicu turello. Vouloz-vous combattro la va 'uocroissanto do préju ésot do bigoten'o? Voufiil-vom vous joindno d’autros pour fairo ochcr 3 cos ton- dancos dangeunousos qui nsquont do nous moner a dos quorolles othniquos ot raCialos? Envoglez- moi votre nom, adrosso ot numoro do to éphono au dc’ rtomont do science po— litique, Universite Ottawa. Si nous sommos siloncioux, les voix dos tonebros I’ompor- toront. Souls, nous no pouvons pas faire rrand chose. Ensemble, nous pouvons gardor e (a affronts racistos contre les autochtones et les sion ite-et pour leur répondre partis nada dans sa voio traditionnollo. Rassi-m néo—Canadions; l’élimination dos droits tra- ct les politidens ont u leur volonto do blonsrnous ot arrotonstes absurditos ditionnols dos francophonos on Alberta ot on mener sur cotte question ou ils ont pour do Saskatchewan; la montée au Nouveau— redes votes. John Trent Brunswick do CORE, lo parti de la Con- Coque j’aial’espritc'estl’émorgonco d’un Ottawa Humaniser les soins aux mourants ll v a quelque temps, un quo tidion rag irtait les propos do Danielle ondoau, philosopho ot rofossoiire, ot do Mo Martin Robert; ils ftirent invnos par vos organismos responds, a l'oc- casii in do V( itro ( ongros d’octobre doniior. (‘os porsonnos y affir- maiont que lo testament biolo- giiiuo "n’ost qii'un bout do papior qui no change non, qui n’ost sur- tout pas la garantio d’uno mort di yno, qui n a aucuno valour ju- cito on, d’un promo, d’un psy- cho oguo, d’un avocat, d’un no- tairo ot d'un travaillour social. l’our la Fondation, lo testament biologiquo, est un document d’uno tros grande valour. Craco a cot ét‘n't, l'éqinpo soi- gnanto ot la famillo pourront mieux prondro soin do la por- sonno mourante non-lucide ot incapable do consentir ou do ro- fusor los traitomonts proposes. L’exprossion écrite dos domieros Tros utilo (o documont, (iir il ldt ilito igriindomont los tin».- 1.- thalsuin par Lilalnth*otlosiin lissiiiiinolsdola -.into i ii i‘l'lw,” i'ist tros important, il lm .lns ’lilr§:l' ilos si'nlinli'nts .lv illipi lrllilt' iiii'ils piiiirriiioiit r-~.»riit' oii (liiiisissant dos tlio’irail-iitiquos sans t . iiiiiailro Eu. \olontos dii niiiiiraiit l'llllll, au ()iiohu it par‘n do 1V9H,ld kn \a iuTnthn’.iinu' porsonno do llLllld-llt'l par oi rit ti itiiiip. ri iquo . volontosdu mourant va indiquor ,, . . qiiolqii’uii pour dis idor .i sa La l‘ondation Rosponsablo a ceux qui l’ontourontcommont il ”‘ pla((', lorsqii‘ollo som I"! .ipahlo ’llsqu'a la fin (ancionnoment vout otro traité a la fin do sa vio. “nuns prétérem do gen-r si pom inno oi sis liii-ns, 'Moun'r dans la dignite”), est on total desacrord avoc (es propos do madame Blondoau et do monsiour Hebert. lo Bureau do direction do notro Fondation est composé do tmis infirmiores, d’unmodecin,d’un proto