u PRÉi-*Acn que, même à l'aide de mes notes, j'aurais eu grand'peine à le ressaisir.

Peut-être aussi eût-il mieux valu encore ne pas les écrire du tout. Cependant, à tout prendre, n'est-il pas préférable que d'un tra- vail quelconque il reste n°importe quoi, et que la trace n°en disparaisse pas entièrement? Si l`on attendaitqu`on fût en mesure de contenter les autres et soi-même, on ne ferait ou l`on ne publierait jamais rien. On passerait sa vie a préparer tout, et on mourrait sur ses pré- paratifs. Plurimos, in apparatu vítœ, vita de- stituít.

tlorneille,ses essais, puis le Cid, et les débats qu'il souleva; le changement de voie qui en fut la suite; Rotrou, avec son Saint Genest,- Molière, avec son Don Juan; les ascendants et descendants de celui-ci; voilà les premiers exemples qui se sont offerts de ce que j'ap- pelle le Ronzantzïsme des Classiques. Et telle est la matière de ce volume.

La démonstration continuera par Pascal et par Bossuet, voire par Racine et par Boileau; a plus forte raison par La Fontaine, qui, avant