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LE MENTEUR
Lancon, conNmLLx
Lorsqu'avant le chef-d'œuvre de Corneille, lc Cid, nous avons étudié ses essais dramatiques, vous avez vu qu'il sétait fait connaître dabord comme poète comique à peu près exclusivement, _ par une demi-douzaine de pièces qui ne faisaient pré- voir, ni au public, ni à lui-même, qu'il serait un jour beaucoup plus célèbre en qualité de poète tragique. Vous vous rappelez .11él*z'te, Cli- tandre, la Veuve ou le Traître puni, la Galerie dr Palais ou l'Amie rivale, la Suivante, la Place Royale. Cinq de ces pièces sont des comédies pures *_ Clitandre seul est une tragi-comédie. Enfixi,à vingt-neuf ans. Corneille donne une tragédie, Médée,