-Ç` '.'Â'__`\:_1 .nfi gl" " -, ' ' *"""1"-›_› fé _ *moins srlñtvniffltlitt, . i and pue amd hearts, mam . Î The wittrered hopes and dreams of other days; ' f' Time and the tomb, affections have survived ` f And with new friends, I tread life's early ways. t Here youth with generous soul and passions pure, Invites to friendly confidence again ; And grace and genius made by years mature, Exert o'er willing hearts, their magic reign. ¢ Such scenes, such friends have I a wanderer found, - Far from my childhood's home, my father's halls ; 'Midst those whose accents have a foreign sound, As on my ear their voice of welcome falls. t And I must say farewell. --These scenes so bright, Are all too fair to gladen long my heart. Yet oit shall memory turn with fond delight 'I`o these kind friends from whom I soon must depart. t The recollections of these happy days, Treasured within my heart, shall ever dwell 'fo cheei* me as alone I tread life's ways. Night gathers 'round me. D'A_illebout : farewell ! Hunt n'est pas le seul sur la liste des savants-poètes. Lagrange, avan _ _ lui, cette « pyramide des sciences mathématiques i, comme Pappelaifi Napoléon Ier, avait fait des vers. Non seulement il compose des _ - < ' légères, mais il osa encore aborder la scène. Nous avons de lui la i -= loués que par leur auteur lui-mème, lequel etait bien aussi. en littàrat a une pyramide de vanité. ' ' Hunt fut plus sage. Il sut contenir sa muse dans les limites simple passe-temps. On doit même ajouter qu'il trouva toujours plúu jouissance à déguster les œuvres des autres, qu'à composer lui-meme., garda cependant toute sa vie un véritable culte pour la forme. Oil constate facilement en parcourant n`importe lequel de ses ouvrageågri phrase est toujours irréprochable et facile, souvent mème élégante. *H