t4 moines amant Izmir aujourfrnúi me religion me une «nmealœanmmmbie emma ` chaire de professeur. Quand, Pautomnedarnien jeune trouvais i. l ` Haven, certains de mes amis parmi les ofliciere du. College. me. i. t de-vifs reproches ace propos. en me disant que; sans cela; je* v. . ÿ successeur du professeur Silliman. père. Cependant je pouvai ` rèpondreque la verité que jîavais trouvée dans llEglise catholiqpm = '_ ' pour moi un trésor que je ne voudrais pas changer pour tous les: du monde. Encore, je leur faisais voir que ma réputationcommo hom de science ne dépendait pas d'eux, et que, tout papiste que je suis, * seraient un jour liers de me compter parmi 1 urs élèves. › Il était enchanté du livre de Donozo Cortès sur le catholicismef J, ' \ l ï "l ,zi libéralisme et le socialisme. «Pour la logique, la haute philosophie @Ha poésie, disait-il, c'est un ouvrage merveilleux. › * " Aussi. en 1855, lors de son départ pour Pexposition 'uuiversdlü Paris, où il devait agir comme l'u.n des Commissaires canadiens. reçnt-ü1§_='__-_, Mgr* de-Charbonnel, des-lettres pour Son Eminence le cardinal» defioiclff- “ ~ et' PArcheVèquG de Paris. (le fut dans ce voyage qu'il- s'é1;~rit›d'uå *là 1856, que je serais heureux de pouvoir y retourner pour y passerait-vic. _ J 'espère que j”y retournerai, pour quelques années au moins, et que je ' reverrai le plus beau royaume après le royaume du ciel. › ' l ' Hélas ! c'était précisément dans ce beau royaume de France* queen. ki devait faire un si triste naufrage. i Bientôt en effet, grâce à Pinfluence des milieux et des relations, gréve ' aussi peut-ètre à cette habitude, à. ce besoin de tout raisonner quiest un î peu le partage de quelquessavants, Huntcrut s'apercevoir que lesdogmes catholiques échappaient aux spéculations* scientifiques de son esprit. H "Îfi se voyait ainsi en presence d'un facteur nouveau, inconnu au cllimistom' ` ses calculs-l _ Hélas! cette pente fatale du positivismeincrèdule, sur laquelle glissell: tant de savants» contemporains. Hunt s'y laissa entrainer: Disenmlegra 'r cette faiblesse, cet éblouissement du raisonneurscientifiquel» Ecoutez plutorce que dit le P. Van' Renselaer sur lesderniersfmometîla