196 ARMAND DURAND.

ma Délima ; j'ai courtisé six mois mon vieux et digne mari avant qu'il condescendît à me faire Famour, et cependant, vois comme il pense à moi, et quel heureux couple nous faisons! Mais as-tu faim, ma petite? .Vai dans Varmoire d'ex- ccllenle tête en fromage et une tranche de ga- lette au beurre.

-0ui, je vais prendre une bouchée, car chez m-'t tante Vézina je n'ai pu manger, vu que monsieur Durand avait toujours les yeux fixés sur moi.

-Baht ces messieurs ne pensent pas que, parce qu'une fille est jolie et charmante, elle doive givre, comme une abeille, cle miel et de fleurs. Dieu merci l nm Délima peut manger de la nourriture plus substantielle. Viens d'abord à Varmoire, et puis au lit, car tu dois être fati- guée de cette longue promenade qui n'a rappor- aucun profil.