__- wí-í Anuman DURAND. 293 tu, et tn demandes: pourquoi pas ?_ Armand Durand, vous n'a\'ez pas le cœur d'un homme, car vous ne seriez pas reste lùcliement ici pen- dant que là-bas votre femme était installée, et vous n'auriez pas payé la misérable qui la vili- pendait. __ Ici madame Martel lit entendre un gros soupir. -Blais vous étiez deux contre elle, répondit Armand, et certainement très capables pour votre adversaire. -Ainsi donc, non content de Fencourager par ton silence et ton abstention, de lui payer les gages qu'elle"avait perdus, voici que tu prends maintenant sa part? demanda la jeune femme avec colère. Madame Martel lit encore entendre un soupir plus fort que le premier et toussa bruyamment, ce qui était évidemment un préliminaire àla part active qu'elle se disposait de prendre dans le nouvel engagement qui commençait. Armand se contenta de saisir en toute hâte son chapeau et de sortir, murmurant entre ses dents que d'autres affaires leréclamaient ailleurs. Ces affaires auxquelles il avait vaguement fait allusion n'étaient rien autre chose qu'une pro- menade en entendant que l`heure fût arrivée pour lui de se rendre au bureau, où il sïnstalla