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ARMAND DURAND. 327

bre. Armand ne s'était pas montré compagnon de verres très amusant et jovizil: il n'avait pas prononcé un seul mot qui ue pût être dit en état de sobriété. Peut-être qufitne autre fois il serait plus agréable; du moins ils lui en donneraienl la chance. Tout en parlant ainsi, ils mirent le Clortneur dans une position plus commode, placèrent des coussins sous sa tête, éteudirezit sur lui un paletot qui se trouvait sur une chaise près de lui, puis ils laissèrent la charubre.

De bonne heure, le lendemain matin, Armand fut réveillé par la servante qui était entrée pour mettre la chambre en ordre, et, chose assez singulière, à Fexception d'un léger mal de tête, il ne lui restait aucun symptôme désagréable de sa bombance dela veille. ll passa dans la cuisine, se baignala tête et le visage dans de l'eau froide, et son mal de tête disparut. Après s'être lissé la chevelure le mieux qu'il put, il revint dans la salle. il comprit tout: les verres vides et d'autres traces de la récente. bamboche; le sopha sur lequel il avait passé la nuit; oui, il s'c'taitaban- donné librement et entièrement au tentateurl A présent que son pouls était calmé et son front rafraîchi, à présent que sa raison avait repris son empire, était-il fâché et peine' de ce qui était trrivé 'I Hélas! une expression dbpiniâtreté