LA FIN DU MONDE
PAR
UN TEMOIN OCULAIRE
PROLOGUE
Lecteurs, en vous *servant ce poème inrligesbc
Je ne nfutb-Lxiwle pas par un long manifeste
A fluôtei' à, genoux votre indulgent lm-uxlon :
Je ifécris pas pour ceux à qui le sort est bon, Mais pour tous ceux à qui lu vie est un supplice : En ulwégeant leurs jours je leur remls un service. Ainsi, pas «le critique. Il faut que vous sachiez Que jc ifécrir-.Lis plus, si vousimc reproclïiez
Un style aibznnixruble, un vers dur et (lifformc Qui pèche par lc fond ainsi que par la forme,
Uu si vous préteualiez que le lyunisscnxent