S0 nrUx corxuxs
drame historique intitulé Papineau, et mon associé Jehin- Prume et moi, nous nous clemandions si la machine pourrait tenir Pafiíehe durant les six jours pour lesquels la salle était louée. @était (leur .semaines seulement amat la *la›re1níè're. Nous assemblames nos acteurs armateurs, ct il fut convenu que je dramatiserais la Bastide Rouge d'Elie Berthet, qu'on Fimprimerait et qu'on repéterait au fur et à mesure que je pourrais livrer un acte.
Aucun mystère en tout cela : M. Prume, M. l\IcGo\vn, \L Clis Lebelle. M. Brazeau, M. Louis Lebelle, M. Dufour sont encore pleins de vie et peuvent endosscr ma déclaration.
lestait à décider si nous mettrions le nom d'ElieB(rtl1ct sur la brochure ct sur Pafliclle. Un fut Lxnaniixic dans la négative, zittentlil que le succès <l'une pièce faite et montée «lans ces eonditionsetait loin (Pótre assuré, et que c'eût été une injustice (le faire courir aucun risque à l`autcur sans sa
permission.
Parce que M. Frécliette a le toupet (le donner une pareille exlvlication, en face tl`anciens eizunaratles qui, par pitié, ne le démcntirontl pas, il croitpouvoir se disculper de Paceusation que fai portée contre
lui à propos de la Bastide Rouge.
Le lauréat \fe fourre le doigt dans l”<_r*il jusqua la deuxième plialange, et les citations que je vais taire de differents journaux de lïšpoquc vont. prou- verquïl ne s`est luis borne à mettre le nom de YEJJ/lé ou celui du Retour Je PILÎr/lé sur lïifliche, mais quïl en fait faire lïšloge dans son propre organe la Pair/w, quil a, sans lèvresdesserrer,laissómême
les rótlaeteurs «les feuilles conservatriees, trompés