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durable eertifieat de menteur que ÿaurais voulu lui

décerner moi-même.

.Le 5 mai, un mois et plus avant la première de PEfllé, la Patrie revenait a la charge et publiait Pébourifiiante réclame suivante, écrite probablement par M. Fréeliette lui-même :

L'art dramatique a été peu cultive jusqlfici par nos hommes de lettres. Ce ne sont cependant pas les sujets qui font défaut. Notre Canada français a ses annales glorieuses, et notre société canadienne ses ridieulfs particuliers, l'on trouverait des matériaux abondants pciur la creation d'un thófttre national.

C'est la que M. Fréelietteÿa recueilli le sujet des deux drames qu`il est sur le point de soumettre a Pappróciation du public.

Le Retour «le l`E.rilí*, dont la presse a fait mention, (st *maintenant lermírzá et sera produit alternativement avec Papineau, dans le cours d'une série dc représentations qui auront lieu au 'Îlxóíxtre Royal vers la tin du mois.

Cette pièce tlramatique, comme son aînée, est parfaitement réussie. M. Fróeliettt* y a. fait preuve d'un talent dramatique hors ligne et d`une connaissance complète des ressorts de la scène. Ijintrigue est conduite avec une rare habileté ; Pau- diteur s`étonne de la facilite avec laquelle l`auteur réussit à. dérouler sa trame compliquée avec art (Pixieitlents et de situations aussi variés quT-nioiivaxits, qui .ÿeneliaînent et se succèdent, d`une manière irrépro(fl1al›1e. Ifintórèt est très bien soutenu dans tout le eours de la pièce, et le dénouement

admirablement menage.

Comme Hut/es df* *nnrznxw vanaflíwizizcs ltJlatuz/r «le l`lz'.rz'lé ne 7