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LA BASTIDE ROUGE
laisse rien a tlC-sirer. Les caractères y sont dessinés de main de maître, et le dialogue, tantôt pathétique et (Tune élo- qnence entraînante, tantôt vif et pétillant, se (léroule avec un naturel charmant.
En face de preuves aussi foudrqvaiites que 1e sont les citations ci-dessus, quest-ce que va dire la colonie française de Montréal, à qui M. Fréchette devait, dc`après lui, lc`explication que 1'011 sait, pour lï/fj-qz//f
«le su répf/ tut/nn _? La. réputation de .\I. Ifréchettt- Î
Le 24 mai, M. L-O. David, mlieusemcut induit en erreur par 1e futur lauréat ou quc1qu`un de ses amis, faisait dans l`Op[ni0/› Pull/ple l`-aqi›prót*iatioii suivante de l`Erílé, qui était terminé le 5 mai et peut-être longtemps avant cette date, lïmisque U. Fréchette lfavait fait que transcrire la Bffsfíf/e
Rouge :
Le Retour «le l`I-.`./fílí*, que nous 11`avons pas entendu, est, dit-on, swpê›*ienr, sous certains rapports. à. Papineau.
Les deux pieces seront jouées à la fin de ce mois à Montréal et à (Québec le soir de la Saint-Jean-Bziïutiste et les jours suivants.
On peut s`attendrc a une \wÎ-ritable féte littéraire : ce sera 1a naissance ou le bapteme du drame c-anadien.
On a vu dans mon Lfu/.réf/t comment ce baptême littéraire fut administré, -non pas au Théâtre Royal connue Pavait d'abord projeté M. Fréchette,
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