FAtssA 1 n r: 123 Pour me faire trouver en faute, le lu//réf/f, oubliant qu'il avait (lójà. cite' le dernier vers en le modifiant, vient de le transcrire exactement tel qu”il se trouve dans la Voix «IW/n Efílé, etllulverbe «alors qui remplace Tadverbe pffrfrn/t qu'on a vu tout a Fheure, le condamne, une foisdeplus, eomme
falsifieateui* imbécile.
Au surplus, qu'on jette un ç~oup «läieil aux piges
21 et 26 du Lwzzréut nen/rue' et l”on v eonstziterzt 1 ›
l;
Poubli stupide dont je veux pzirle r.
Mais revenons aux eomlizirzmisons faites par Mare S-auvzzlle pour M. Fréehette, ou 1í›ar M. Freeliette pour Marc Sauvalle :
CHAPMAN
Nous longions «les rochers «le feuillages couverts ; Devant nous s`e11l`u_v;1ienti (les :miles óelatantes ç Et les arbres. penchés sur les vagues ehzintantes,
Semblziient. noçis saluer «le leurs eventails verts. F RECIIPYFTE
Rasant les ilots verts et les «lunes rlhpales,
Des vols (loiseaux marins s'ólevaient des roseaux, Et, pour montrer la route à la pirogue frôle, S'eufuyaient. en avant.........
On aurait dit qu'au loin les :xrbres «le la rive,
En :irceziux parfumés [Jenehes sur sen chemin, Saluaient le heros.
M. Fréehette a pris tous les vers qu`on vient de lire dans trois strophes de la Décof/vfzrf/.r «lu Míssísflsípí;